Voltaire, qui n'a pas d'animosité excessive contre la personne de Jésus (il attribue plutôt les excès à ses successeurs, à l'Eglise, etc.) est scandalisé par cet épisode.
Il se demande quel besoin il avait d'aller embêter ces braves commerçants (ah, le "doux commerce") qui ne faisaient de mal à personne.
Bon, Jésus n'est pas un libéral, ni dans cet épisode ni un autre. Il aime encore moins "les riches" que François Hollande. Et il se montre aussi beaucoup moins cool là-dessus que le Pape François, qu'on traite partout de "gauchiste", sur ce forum, comme s'il avait eu besoin de lire Lénine pour dire ce qu'il dit et croire ce qu'il croit.
On se souvient des paroles de Don Elder Camarra (le "théologien de la libération") : "quand je viens au secours des pauvres, on me dit que je suis un saint, quand je demande pourquoi il y a autant de pauvres, on me traite de communiste".