Dans le "mur des cons", l'expression devait surtout mentionner les auteurs.
De par les démocraties occidentales, des juges, hommes politiques arbitrant le pouvoir judiciaire, rendent inconséquemment des jugements imbéciles. Exemple :
La demande d’une mère de famille divorcée de s’installer avec ses trois enfants sur l’île de Sein, en Bretagne, a été rejetée début août par un magistrat aux affaires familiales de Montpellier. Sur les allégations de l’avocate de la partie adverse qui a dépeint la petite île comme « isolée, dangereuse, subissant de nombreuses tempêtes, sans eau, ni électricité ni voiture », il a considéré que « l’île peut être assurément regardée comme étant un lieu de vie relativement hostile pour les enfants ». Cette décision a déclenché la colère du maire qui a rappelé que sa commune disposait « d’une école primaire et d’un collège, d’un cabinet médical et de plusieurs commerces ». (2013, Fenêtres sur cours 388, 5)
Sur cette jurisprudence, on devrait immédiatement évacuer toutes les familles des quartiers pourris. Je préfère élever mes enfants à Sein qu'aux Bosquets (Montfermeil) ou aux Tarterets (Corbeil-Essonnes).
J'essaie de savoir qui est le juge en question. En tout cas, il est défendu par son supérieur, Eric Maréchal, président du tribunal de Grande Instance de Montpellier :
http://www.francebleu.fr/infos/ile-de-s ... es-proch-8
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Une standardiste du TGI de Montpellier me dit que les magistrats présidant les audiences sont libres de divulguer ou non leurs identités. J'imagine que les politiciens de l'exécutif (ministres, maires...) et du législatif (députés, sénateurs...) aimeraient parfois jouir de la même discrétion.