Prince est un musicien agé de 55 ans, qui a connu son heure de gloire lors des années 80 et jusqu'en 1995.
Il fut avec Michael Jackson et Madonna, l'une des trois superstars des années 80.
Je suis un grand fan de lui depuis une quinzaine d'années, et je le considère tout simplement comme un GENIE.
Je suis loin d'être le seul: public, critiques, journalistes, autres musiciens ...
Il a réussi à associer jusqu'en 95 l'artistique et le commercial.
Depuis cette date, il n'a plus sorti de tube mondial, et est donc inconnu par une partie de la jeunesse.
Je voudrais par ce fil, le faire découvrir ou redécouvrir au plus grand nombre, et je l'avoue, en "convertir" quelques uns parmi vous.
Soyons au delà des clichés comme quoi il est un nain (1m.58) et qu'il est risible pour cela, ou qu'il serait homosexuel, ce qui n'est pas vrai. (et qu'en n'aurait-on cure ?). Ou encore qu'il fut drogué, ce qui n'est pas vrai non plus.
Je vous proposerai des vidéos de lui de temps à autre, histoire de le découvrir sous ses multiples facettes.
Voici, en attendant, quelques extraits d'encyclopédies, et d'un échange que j'ai eu avec un ami sur lui:
http://www.larousse.fr/encyclopedie/per ... nce/155647
Chanteur, multi-instrumentiste, compositeur et producteur de funk américain (Minneapolis, Minnesota, 1958).
Quel est le point commun entre Joey Coco, Jamie Starr, Christopher et Love Symbol ? Ne cherchez pas, c'est le même homme : « l'artiste jadis connu sous le nom de Prince », formule sous laquelle il aimait, il y a encore peu, à se faire désigner. Car Prince — il faut bien l'appeler par son vrai prénom — adore autant les sobriquets qu'il déteste les étiquettes. On a tenté d'en coller plusieurs sur sa musique, techno, soul, funk, rock, new jack, etc. On lui a même trouvé une kyrielle d'inspirateurs, de Charlie Chaplin (pour la silhouette) à Jimi Hendrix (pour la guitare), de James Brown (pour les entrechats) aux Beatles (pour les mélodies), en passant par Little Richard (pour l'androgynie) et Sly Stone (pour la fusion musicale). Mais force est de reconnaître que le bonhomme est unique.
Génie musical. Rendons à Prince ce qui lui appartient : un prolixe génie musical, une rare maîtrise de sa carrière, un talent inné de provocateur. Ajoutons à cela un showman spectaculaire, un musicien virtuose et un chanteur hors du commun… Prince Roger Nelson, c'est donc son vrai nom, est né et vit encore à Minneapolis. Son père, John Nelson, était pianiste et compositeur de jazz. Sa mère, Matti, métisse à la peau claire, était chanteuse. Il a treize ans quand ses parents divorcent. Il s'installe alors chez un copain de lycée, André Anderson, dit Cymone. Avec lui, il fonde son premier groupe, Grand Central, rebaptisé Champagne en 1974. Parallèlement, Prince passe tout son temps libre dans un studio d'enregistrement que lui prête le nommé Chris Moon, un Anglais installé à Minneapolis. En échange, il met en musique les textes de Moon. C'est là, après force nuits blanches, qu'il apprend seul les rudiments de la technique d'enregistrement et se met à jouer d'une dizaine d'instruments. Il a à peine vingt ans quand sort son premier disque, For You. Fait rare pour un artiste débutant, Prince a exigé et obtenu un contrôle total sur son enregistrement : il le produit lui-même et y joue de tous les instruments. La chanson Soft And Wet (paroles de Moon) obtient un petit succès encourageant. Le deuxième album, sans titre, confirme en octobre 1979 tous les espoirs avec le hit I Wanna Be Your Lover. Prince adopte alors une image ouvertement sexuelle et délibérément provocatrice. En bikini, bas résille et imperméable de satyre, il chante des odes à la masturbation ou à l'inceste. C'est en cet équipage qu'il se produit sur scène pour promouvoir son nouvel album au titre explicite, Dirty Mind … et prend un bide à Paris, au Palace, devant une poignée de spectateurs égarés. Le quatrième album, Controversy, paraît en octobre 1981. C'est l'époque où Prince commence à multiplier ses activités, en composant et produisant d'autres groupes et artistes, de préférence des créatures sexy, sur lesquels il appose sa griffe princière : The Time (où l'on retrouve Morris Day, ex-batteur de Champagne), Vanity 6, remplacée par Appollonia 6, The Family, puis plus tard Jill Jones, Taja Sevelle ou Dale. Son propre orchestre se nomme désormais The Revolution et comprend des musiciens mixtes et spectaculaires, comme la batteuse-chanteuse Sheila E., le duo guitare-claviers Wendy Malvoin et Lisa Coleman — elles enregistreront par la suite des disques — ou le claviériste Dr Fink.
Exploration. Le double album 1999, sorti en octobre 1982, renferme le premier véritable tube du héros, la chanson Little Red Corvette. Mais c'est avec le film Purple Rain et sa bande-son que Prince rencontre enfin un succès mondial, en été 1984 : une épopée à sa gloire, vaguement autobiographique, tournée dans le style des films de Presley et réalisée par Albert Magnoli. Prince, star du septième art ? Malgré plusieurs récidives (Under The Cherry Moon, une comédie musicale en noir et blanc, ou Graffiti Bridge, sorte de remake de Purple Rain accompagné d'un double album du même nom), le citoyen pourpre de Minneapolis ne réussira jamais à se faire prendre au sérieux comme comédien. L'acteur, c'est sur scène qu'il le fait le mieux. La preuve, le film Sign O'The Times, témoignage de sa grandiose tournée et du disque (tout aussi mémorable) du même nom. Entre-temps, Prince a publié deux albums, Around The World In A Day et Parade (avec le single Kiss), dans lesquels il explore toutes les palettes d'un funk-rock psychédélique baroque et bigarré. Le disque suivant, Lovesexy, marque les penchants du compositeur pour une musique plus ambitieuse, lorgnant du côté de Miles Davis, de Frank Zappa ou de Carlos Santana, sa véritable idole guitaristique. Prince aime le pouvoir et le mystère. Depuis ses somptueux studios de Paisley Park, une véritable forteresse multimédia qu'il s'est fait construire dans les environs de Minneapolis, il règne sur une armée de musiciens, techniciens, ingénieurs du son, costumiers, etc., tel un suzerain maniaque et omniprésent. Sa pseudo-rivalité avec Michael Jackson, ses conquêtes féminines, qu'on prétend aussi nombreuses que les chansons inédites qui dorment dans ses coffres-forts, entretiennent la légende. D'autant qu'il n'accorde que de rarissimes interviews. Le Black Album, un disque mythique que l'auteur fera retirer immédiatement de la vente en raison de problèmes avec sa maison de disques, battra avant d'être réédité des records de vente en édition pirate. Pas comme la B.O. du film Batman, qu'il signe de son nom, bien qu'on entende peu de sa musique dans le long-métrage.
« Love symbol ». Toujours en raison de problèmes contractuels, Prince déclare un jour que désormais il ne veut plus qu'on l'appelle Prince et se choisit en guise d'état civil une sorte de signe imprononçable qui mêle les symboles de la féminité et de la masculinité (le « love symbol »). Avec son nouveau groupe The New Power Generation, qui comprend la chanteuse Mavis Stapple, il publie sous des labels différents plusieurs disques inégaux (Diamonds And Pearls en 1991, Come en 1994, ou The Gold Experience en 1995), tournant toujours autour de ses thèmes de prédilection, Dieu, le sexe, le futur. Et obtient encore quelques tubes avec Cream et The Most Beautiful Girl In The World.
En novembre 1996, Prince signe son œuvre la plus ambitieuse depuis Sign O'The Times : Emancipation, album de trois CD, se présente comme un kaléidoscope musical totalement flamboyant. Aux dernières nouvelles, notre super-Éros a convolé en justes noces avec sa choriste-danseuse Mayté. Le fluet souverain du funk, quelle que soit la façon dont on le nomme, n'a nullement l'intention de quitter son trône. Un jour, notre Prince reviendra.
Chanteur, auteur-compositeur, producteur et musicien américain, né le 7 juin 1958 à Minneapolis (Minnesota), Prince est l'un des musiciens américains les plus doués de sa génération. Comme Stevie Wonder, c'est un compositeur exceptionnel capable de jouer comme un professionnel de quasiment tous les instruments nécessaires à l’interprétation de ses morceaux. Il enregistre d'ailleurs seul un grand nombre de ses albums. La carrière musicale de Prince commence avec des morceaux empreints de funk et de soul censés séduire un public essentiellement noir. On sent également dans ses premières compositions une certaine touche disco, très populaire à l'époque. Ses albums suivants sont marqués par des influences très diverses (jazz, punk, heavy metal, musique des Beatles, hip-hop) qui viennent enrichir un style plutôt dominé par le rythme rapide du funk et les ballades mélancoliques, souvent interprétées par Prince avec une voix de fausset caractéristique et très expressive.
Attiré très jeune par la musique, Prince Rogers Nelson commence à jouer du piano à l'âge de sept ans et maîtrise la guitare aussi bien que la batterie lorsqu'il entre dans son premier groupe à quatorze ans. La population afro-américaine étant très peu représentée dans sa ville natale de Minneapolis, nul ne s'attend à y voir naître une grande star noire. Or Prince réussit même à propulser d'autres musiciens locaux au sommet, en particulier Jimmy Jam et Terry Lewis.
La musique intense de Prince fait écho à ses paroles, qui évoquent souvent la sexualité et le désir sur un ton direct. Une grande partie de son œuvre, dans ses paroles et à travers ses images, s'élève contre les contraintes dues aux conventions et à l'appartenance à certaines catégories sociales. Prince explore des modes typographiques nouveaux dans les titres et les paroles de ses chansons, trouvant ainsi un autre moyen d'échapper aux conventions. En 1993, il annonce qu'il prend désormais pour nom un symbole imprononçable associant les symboles féminin et masculin, que l'on finira par appeler Love symbol. On sent en outre une forte influence religieuse dans certains de ses morceaux, parfois sous la forme d'une sorte d'expérience érotique sacrée qui trouve ses racines dans les églises noires américaines.
La carrière de Prince prend un tournant avec la sortie en 1983 du tube Little Red Corvette, diffusé sur M.T.V. à une époque où quasiment aucun artiste noir n'apparaît sur cette nouvelle chaîne de référence. Purple Rain (1984) fait de lui l'une des plus grandes stars des années 1980 et demeure son album le plus vendu. Trois des titres de l'album deviennent des tubes : le frénétique Let's Go Crazy, l'androgyne et néanmoins fragile When Doves Cry et celui qui donne son nom à l'album et qui devient un véritable hymne. Prince continuera ensuite à produire une musique originale propre à séduire un large public.
Pendant l'essentiel de sa carrière, l'inventivité extraordinairement prolifique de Prince se heurtera à la politique de sa maison de disques, la Warner, qui consiste à ne sortir qu'un album par an. Tandis que s'entassent les enregistrements achevés mais non commercialisés, Prince donne ses chansons à d'autres artistes – dont un certain nombre enregistrent des albums dans les studios de Paisley Park, pour le label éponyme qu'il a créé dans la banlieue de Minneapolis –, de même qu'il fonde des groupes prétendument indépendants, à l'exemple de The Time, pour enregistrer ses chansons. En 1996, Emancipation fête la fin prochaine du contrat qui le lie à la Warner, événement qui lui permettra ensuite de produire autant d'albums qu'il le souhaite grâce à son label N.P.G. Plus tard, il expérimente de nouvelles façons de vendre ses œuvres, sur Internet ou grâce à des accords particuliers avec certaines chaînes de magasins, dans une volonté de ne pas se plier aux règles édictées par les grandes maisons de disques. En 1999, il sort néanmoins Rave Un2 the Joy Fantastic sous le label Arista. Cet album, pour lequel il a travaillé avec Sheryl Crow, Chuck D, Ani DiFranco, notamment, reçoit un accueil mitigé de la critique et ne parvient pas à toucher un large public. Son contrat avec la Warner arrivant officiellement à échéance la même année, Prince cesse d'utiliser le symbole qu'il s'était donné en guise de nom. En 2004, il est admis au Rock and Roll Hall of Fame et sort l'album Musicology, bien accueilli à la fois par le public et par la critique
http://www.universalis.fr/encyclopedie/prince-nelson/
Echanges avec l'ami:
James Brown " Prince est mon fils"
Stevie Wonder "Prince est un génie"
Miles Davis "Prince est le plus grand musicien de tous les temps, entre lui et Michael Jackson, il y a un monde"
Paul Mc Cartney et Eric Clapton en 2013 " Prince est le meilleur guitariste au monde"
Michael Jackson "il est si talentueux"
Je respecte et même j'aime beaucoup Michael Jackson
c'etait un génie de la danse et du show
de plus il a composé nombre de ses tubes planétaires et universels, qui parlaient à tout le monde, ça il en a fait bien
plus que Prince, qui n'a eu "que" une vingtaine de tubes planétaires
Jackson une soixantaine
Jackson dictait, rimait, chantait à ses musiciens les airs qu'il avait en tête , car il savait pas composer à l'écrit ni jouer
d'instrument, mais il avait bien les airs en tête, il faut pas l'oublier
bon il a fait la moitié de ses tubes avec quincy jones aussi ou autres
sache bien que Prince à 14 ans, métis, tout petit, malingre, métis dans une ville à 97% de blancs, Minneapolis,
etait sans domicile fixe, pendant six mois il a dormi dans la rue, il etait loin de manger à sa faim, ses parents l'avaient
abandonné
il a fini par être recueilli dans la cave d'un cousin, et s'est rescolarisé.
il a appris seul à jouer une vingtaine d'instruments, dans cette CAVE
n'est ce pas un génie ?
lui non seulement comme Jackson est un génie de la danse et du show, ses concerts sont choquants de show (mais sans effets sons et lumiere et sans jamais play back comme jackson l'a fait souvent )
mais en plus il écrit les paroles et les notes , compose, arrange, produit, chante, réalise les clips et les films !!!!
Il dessine également à la main ses nombreux costumes bariolés et funkys.
Prince pendant quinze ans faisait ses sauts, danses, et acrobaties,
avec des talons de 10cm ! Unique dans l'histoire ! Prouesse technique et équilibre phénoménaux