à voir ce soir, samedi 31 sur ARTE , à 20h45 ( ou plus tard sur ARTE+7 ) Le récit de l'exil des Juifs, après la destruction du Temple de Jérusalem par les Romains en 70 après Jésus-Christ, est un épisode déterminant pour la théologie juive et même fondamental dans l'histoire de l'Europe et du Moyen-Orient. Les réalisateurs se rendent en Galilée, à Jérusalem et à Rome pour tenter de démêler le mythe de la réalité historique. Archéologues et historiens apportent leur éclairage. Des analyses pertinentes sur la manière dont l'histoire s'est construite au fil des siècles.

Une autre histoire Dans cette enquête, menée en Galilée, à Massada, à Jérusalem et à Rome, on apprend ainsi que, loin d’être une période de désintégration du judaïsme, les siècles qui suivirent la destruction du Temple furent marqués par un certain renouveau, à l’extérieur de Jérusalem. S’accordant à mettre en cause la version catastrophique de l’exil, les historiens et les archéologues interrogés rappellent en outre que la diaspora juive existait déjà depuis longtemps tout autour de la Méditerranée. Depuis 1985, les archéologues fouillant le site de Séphoris, une ville antique de Galilée, ont par exemple découvert que la cité, ayant refusé de soutenir la rébellion de Jérusalem, avait continué à prospérer au sein de l’empire romain. Elle deviendra un village arabe, Safuri, après la conquête arabe de la Palestine au VIIe siècle, dont les habitants seront chassés par l’État hébreu en 1948. Ils étaient pourtant, pour certains d’entre eux, les descendants de juifs de l’Antiquité. Entretiens avec des spécialistes, séquences documentaires et archives dévoilent ainsi une riche histoire commune et méconnue, qui résonne comme une esquisse de paix possible pour les hommes d’aujourd’hui.

que certains palestiniens sont des descendants des juifs de l'Antiquité Les chrétiens , trés certainemeNT.

Adrien envoya contre eux ses meilleurs généraux, parmi lesquels le premier fut Julius Sévérus, qu'il manda de la Bretagne, où il commandait, pour lui confier la guerre contre les Juifs. Celui-ci n'osa nulle part en venir à un engagement face à face avec des ennemis dont il voyait le nombre et le désespoir ; mais, les attaquant séparément, grâce au nombre de ses soldats et de ses lieutenants, il parvint, en leur coupant les vivres et en les enserrant, il parvint, dis-je, lentement, il est vrai, mais sans hasarder ses troupes, à écraser, à étouffer, à anéantir leur sédition. Peu échappèrent à ce désastre. Cinquante de leurs places les plus importantes, neuf cent cinquante-cinq de leurs bourgs les plus renommés, furent ruinés ; cent quatre-vingt mille hommes furent tués dans les incursions et dans les batailles (on ne saurait calculer le nombre de ceux qui périrent par la faim et par le feu, en sorte que la Judée presque entière ne fut plus qu'un désert...) Dion Cassius, IIe siècle. Mais nous remarquons que dans cette ville de Bethléem, il ne reste plus aujourd’hui un seul membre de la race d’Israël. Il y a plus. Depuis que la défense en a été portée, aucun Juif ne peut même demeurer dans le voisinage de cette contrée, si bien que la menace du prophète s’est accomplie à la lettre : « Votre terre est déserte ; vos villes sont la proie des flammes, » c’est-à-dire (hélas ! vous l’avez vu à l’époque de votre guerre), « des étrangers, sous vos veux, ont dévoré votre patrie ; elle est désertée comme le champ que l’ennemi a dévasté. » Tertullien, IIe siècle. epuis ce temps, tout le peuple reçut, par une loi et des prescriptions d'Hadrien, la défense absolue d'approcher du pays qui entoure Jérusalem : si bien qu'il était interdit aux Juifs de regarder même de loin le sol de leur patrie. Eusèbe de Césarée, IVe siècle.

Sévérus débarqua avec pas mal de légions pour en venir à bout.

J'attends qu'on m'explique que ces trois auteurs sont des juifs pleins de préjugés sur un événement mythique dont ils étaient pourtant contemporains (Jérusalem ne retrouvant sa liberté que sous Constantin, un temple sous Julien).

Je n' ai rien compris de là où on veut en venir.

Adrien envoya contre eux ses meilleurs généraux, parmi lesquels le premier fut Julius Sévérus, qu'il manda de la Bretagne, où il commandait, pour lui confier la guerre contre les Juifs. Celui-ci n'osa nulle part en venir à un engagement face à face avec des ennemis dont il voyait le nombre et le désespoir ; mais, les attaquant séparément, grâce au nombre de ses soldats et de ses lieutenants, il parvint, en leur coupant les vivres et en les enserrant, il parvint, dis-je, lentement, il est vrai, mais sans hasarder ses troupes, à écraser, à étouffer, à anéantir leur sédition. Peu échappèrent à ce désastre. Cinquante de leurs places les plus importantes, neuf cent cinquante-cinq de leurs bourgs les plus renommés, furent ruinés ; cent quatre-vingt mille hommes furent tués dans les incursions et dans les batailles (on ne saurait calculer le nombre de ceux qui périrent par la faim et par le feu, en sorte que la Judée presque entière ne fut plus qu'un désert...) Dion Cassius, IIe siècle. Mais nous remarquons que dans cette ville de Bethléem, il ne reste plus aujourd’hui un seul membre de la race d’Israël. Il y a plus. Depuis que la défense en a été portée, aucun Juif ne peut même demeurer dans le voisinage de cette contrée, si bien que la menace du prophète s’est accomplie à la lettre : « Votre terre est déserte ; vos villes sont la proie des flammes, » c’est-à-dire (hélas ! vous l’avez vu à l’époque de votre guerre), « des étrangers, sous vos veux, ont dévoré votre patrie ; elle est désertée comme le champ que l’ennemi a dévasté. » Tertullien, IIe siècle. epuis ce temps, tout le peuple reçut, par une loi et des prescriptions d'Hadrien, la défense absolue d'approcher du pays qui entoure Jérusalem : si bien qu'il était interdit aux Juifs de regarder même de loin le sol de leur patrie. Eusèbe de Césarée, IVe siècle. Y a pas à dire le "Peuple soi-disant "élu" a la scoumoune...

Adrien envoya contre eux ses meilleurs généraux, parmi lesquels le premier fut Julius Sévérus, qu'il manda de la Bretagne, où il commandait, pour lui confier la guerre contre les Juifs. Celui-ci n'osa nulle part en venir à un engagement face à face avec des ennemis dont il voyait le nombre et le désespoir ; mais, les attaquant séparément, grâce au nombre de ses soldats et de ses lieutenants, il parvint, en leur coupant les vivres et en les enserrant, il parvint, dis-je, lentement, il est vrai, mais sans hasarder ses troupes, à écraser, à étouffer, à anéantir leur sédition. Peu échappèrent à ce désastre. Cinquante de leurs places les plus importantes, neuf cent cinquante-cinq de leurs bourgs les plus renommés, furent ruinés ; cent quatre-vingt mille hommes furent tués dans les incursions et dans les batailles (on ne saurait calculer le nombre de ceux qui périrent par la faim et par le feu, en sorte que la Judée presque entière ne fut plus qu'un désert...) Dion Cassius, IIe siècle. Mais nous remarquons que dans cette ville de Bethléem, il ne reste plus aujourd’hui un seul membre de la race d’Israël. Il y a plus. Depuis que la défense en a été portée, aucun Juif ne peut même demeurer dans le voisinage de cette contrée, si bien que la menace du prophète s’est accomplie à la lettre : « Votre terre est déserte ; vos villes sont la proie des flammes, » c’est-à-dire (hélas ! vous l’avez vu à l’époque de votre guerre), « des étrangers, sous vos veux, ont dévoré votre patrie ; elle est désertée comme le champ que l’ennemi a dévasté. » Tertullien, IIe siècle. epuis ce temps, tout le peuple reçut, par une loi et des prescriptions d'Hadrien, la défense absolue d'approcher du pays qui entoure Jérusalem : si bien qu'il était interdit aux Juifs de regarder même de loin le sol de leur patrie. Eusèbe de Césarée, IVe siècle. Y a pas à dire le "Peuple soi-disant "élu" a la scoumoune... Pas pire que d' autres peuples, sauf pour ceux qui se focalisent dessus. Comme toi.

Je n' ai rien compris de là où on veut en venir. Les lécheurs de babouches du service public essaient de saper les bases de l'idéologie sioniste en expliquant que l'exil est un mythe et que les "vrais" Juifs sont les Palestiniens d'aujourd'hui. Le problème pour les gauchistes c'est qu'on parle là d'une période de l'antiquité où on a d'autres témoignages que la mémoire religieuse juive. On a discuté du sujet il y a quelques temps avec Cadmos je crois...

Adrien envoya contre eux ses meilleurs généraux, parmi lesquels le premier fut Julius Sévérus, qu'il manda de la Bretagne, où il commandait, pour lui confier la guerre contre les Juifs. Celui-ci n'osa nulle part en venir à un engagement face à face avec des ennemis dont il voyait le nombre et le désespoir ; mais, les attaquant séparément, grâce au nombre de ses soldats et de ses lieutenants, il parvint, en leur coupant les vivres et en les enserrant, il parvint, dis-je, lentement, il est vrai, mais sans hasarder ses troupes, à écraser, à étouffer, à anéantir leur sédition. Peu échappèrent à ce désastre. Cinquante de leurs places les plus importantes, neuf cent cinquante-cinq de leurs bourgs les plus renommés, furent ruinés ; cent quatre-vingt mille hommes furent tués dans les incursions et dans les batailles (on ne saurait calculer le nombre de ceux qui périrent par la faim et par le feu, en sorte que la Judée presque entière ne fut plus qu'un désert...) Dion Cassius, IIe siècle. Mais nous remarquons que dans cette ville de Bethléem, il ne reste plus aujourd’hui un seul membre de la race d’Israël. Il y a plus. Depuis que la défense en a été portée, aucun Juif ne peut même demeurer dans le voisinage de cette contrée, si bien que la menace du prophète s’est accomplie à la lettre : « Votre terre est déserte ; vos villes sont la proie des flammes, » c’est-à-dire (hélas ! vous l’avez vu à l’époque de votre guerre), « des étrangers, sous vos veux, ont dévoré votre patrie ; elle est désertée comme le champ que l’ennemi a dévasté. » Tertullien, IIe siècle. epuis ce temps, tout le peuple reçut, par une loi et des prescriptions d'Hadrien, la défense absolue d'approcher du pays qui entoure Jérusalem : si bien qu'il était interdit aux Juifs de regarder même de loin le sol de leur patrie. Eusèbe de Césarée, IVe siècle. Pas possible à cette époque les scribouillards marchaient au hasch...

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L'exil des juifs - Entre mythes et Histoire

nationale-7

Les palestiniens cultivent le mythe du peuple martyr

Gonflé :

: :

Pourtant c'est bien ça, ils sont toujours en train de se plaindre .... et ne prennent pas les décisions qui leur permettraient d'accéder à leur rêve d'autodétermination

mais n'ont pas fait jusqu'à présent la démonstration qu'ils disposeraient de la maturité et du courage politique pour accéder à autodétermination.

Leur autodétermination ne dépend pas du jugement partial de leur adversaire direct de toute façon.

Certes, leur autodétermination dépendra uniquement des choix et des décisions qu'ils prendront.

Jusqu'à présent, ils ont laissé passer toutes les opportunités qui se présentaient à eux.

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