N IMPORTE QUOI!!!!! Un document sans chiffres en plus --> poubelle!
1) D'abord un argument de pure logique géostratégique. Si il y a avait réellement autant de gaz en Syrie, on aurait pas attendu 2ans et demi de guerre et une situation de plus en plus instable avant d'intervenir pour y faire des investissement ensuite. Me semble qui si sa pète en Arabie Saoudite, on attend pas 2ans... 2ans de guerre civile en Arabie Saoudite c'est plus d'économie et la 3ème guerre mondiale.
2) Faut arrêter avec le fantasme comme quoi chaque pays du proche et du moyen orient pocède forcément de réserves faramineuses en hydrocarbures. Il y en a en Syrie mais c'est pas grand chose. Le pétrole c'est 0.3-0.5% de la production mondiale. En dessous des fameux 2% de pétrole de de rab qu'ont les saoudiens et donc en dessous de tout danger majeur pour l'économie. Ce qui était moins évidant avec la Libye (d'où l'intervention rapide) et ses 2-3% de production mondiale.
3) Ok pour le pétrole mais on parle ici de gaz mon bon Liegeois... !!!! 240,7 milliards mètre cube de réserves prouvées en 2011. En 2005 (soit il y a déjà quelques années, car ça a augmenter depuis...) le monde produisait 2 743 milliards de mètres cubes de gaz naturel. Autrement dit toutes les réserves prouvée en 2011 en Syrie... C'est un peu plus d'un moi de production annuelle.... Il n'y a donc presque pas de gaz en Syrie. Certainement pas plus qu'en France
Irak et dans une moindre mesure la Lybie --> intervention pour des raisons énergétiques. Syrie aucunes intervention pour des raisons énergétiques... D'ailleurs on parle de quelque frappes, certainement pas de troupes au sol pouvant sécuriser les réserves énergétiques du pays.
Le seul intérêt de la Syrie c'est que cela pourrait (et ce n'est pas encore le cas) devenir un terminal pétrolier/gazier permettant de contourner le détroit d'Hormuz et le canal de Suez. Pour ça cependant il faudrait que toute la région soit clame...