Mais oui, on les vend à n'importe qui les armes, personne ne va envoyer ses services de renseignement pour vérifier les intentions de l'acheteur, c'est logique.
Vu l'âpreté des combats, les vendeurs voyaient bien que les armes servaient et à quoi elles servaient.
Les armes chimiques, c'était autre chose.
Bonjour,
Ben ça alors spitfire, vous n'aviez pas dit que vous étiez en Irak en 1988. Heureusement que vous avez tout vu.
Cordialement.
Je n'étais pas en Irak, mais à l'époque on avait quand même quelques récits du front de la guerre Iran Irak, non?