J'ai du mal à voir dans le fait de baiser des mortes une forme de crime.
J'entdends bien qu'elles ne "consentent" pas et que cela puisse relever du "viol" pris en un sens très large.
Je ne peux en revanche qu'avoir de la pitié pour les victimes.
Ce que j'appelle : "les victimes" étant ceux qui se livrent à de tels actes.
Il n'a pas pu ou pas voulu (je m'en fous) niquer sa soeur de son vivant ? Il se fait une session de rattrapage en octobre quand elle est morte ?
Mais qui ne voit que celui qui souffre, en l'occurence, c'est lui ?
Tout ce qui touche à la mort n'a d'intérêt que pour la question de la séparation (et au rebours : tout discours qui ne dit pas cela, qui n'envisage pas la mort comme la séparation, ne présente rigoureusement aucun intérêt).
Il est facile de voir à quelle illusion s'adjoignent ce genre de typds, à quel point elle est illusoire et destructrices, à quel point ils ne seront que des cocus