Je me demande bien ce que notre ami spitfire/national7 a pour répondre à ces deux informations :
http://m.lorgane.com/En-janvier-2013-les-services-secrets-americains-planifiaient-une-attaque-chimique-en-Syrie-pour-faire-accuser-Assad-_a1256.html
http://www.egaliteetreconciliation.fr/Ce-n-est-pas-le-gouvernement-de-Bachar-al-Assad-qui-a-utilise-des-gaz-de-combat-a-Damas-20052.html
lire Le Monde serait plus sûr et plus sérieux http://www.lemonde.fr/proche-orient/art ... _3218.html
DEUX TÉMOIGNAGES DIFFÉRENTS
Les deux hommes avaient disparu dans l'ouest de la Syrie, non loin de la frontière libanaise, une région soumise aux pires soubresauts de la guerre syrienne. L'Italien avait pu contacter son épouse par téléphone en juin pour confirmer son enlèvement et rassurer sur son état de santé.
Pierre Piccinin est un ancien partisan du régime de Damas, mais il avait changé d'avis au printemps 2012. Arrivé en Belgique, il a assuré que Bachar Al-Assad n'était pas responsable des attaques chimiques. Il affirme avoir surpris une conversation au cours de sa détention au côté de Domenico Quirico, ce que dernier nie aujourd'hui dans La Stampa : "C'est une folie de dire que je sais qu'Assad n'a pas utilisé de gaz. Nous ne savions rien de ce qui se passait, pas même à propos de l'attaque avec les gaz."
Vous auriez pu poster la suite qui confirme ce que dit Piccinin
"Nous n'avons rien vu de ce qui se passait en Syrie pendant notre détention, a précisé à La Stampa Domenico Quirico, et donc de l'attaque chimique. Un jour cependant, nous avons pu écouter une conversation de la chambre où nous étions enfermés. Trois personnes dont nous ne connaissions pas les noms ont discuté en anglais sur Skype. L'un s'est présenté comme un général de l'ASL. Une deuxième personne, que nous n'avions jamais vue, était avec lui. Et de la troisième personne, qui était jointe par Skype, nous ne savions rien.
"Dans cette conversation, ils disaient que l'attaque de gaz sur deux quartiers de Damas avait été lancée par les rebelles comme une provocation, pour conduire l'Occident à intervenir militairement. Pour eux, le nombre de morts était exagéré. Je ne sais pas si c'était vrai : je n'ai aucun élément pour confirmer cette thèse et je n'ai aucune idée de la fiabilité de ces personnes. Je ne peux absolument pas dire si cette conversation était fondée sur des faits réels."
Bref, il confirme la conversation, mais ne peut établir avec précision quelles étaient ces personnes.