Je lis ceci:
Difficile d’anticiper une reprise rapide de la consommation. La BoJ attend une hausse des prix sur l’exercice fiscal 2015 à 1 %, contre 0,9 % pour l’exercice en cours, hors effet de la majoration du taux de TVA.
Les négociations salariales du printemps, le traditionnel « shunto », pourraient se traduire par une augmentation du salaire de base, aux alentours de 2 %.
Elle sera bienvenue car en novembre 2014, a fait savoir le ministère de la santé, du travail et des affaires sociales, le revenu mensuel moyen rapporté à l’inflation a reculé pour le 17e mois consécutif, de 4,3 %.
Mais les hausses de salaire pourraient rester insuffisantes pour réellement modifier le comportement des consommateurs. Pour Takeshi Minami, de l’institut de recherche Norinchunkin, « la consommation ne devrait pas tirer la croissance en 2015. »
Et ce d’autant plus que la BoJ pourrait décider de nouvelles mesures d’assouplissement monétaire pour atteindre son objectif d’inflation de 2 % par an.
Bien oui, faut savoir ce qu'on veut, de la croissance ou stagner, et si on veut de la croissance, faut que le lambda a des sous pour acheter, on fabrique à tout casser, on robotisé, modernise, tout cela ne sert à rien si les salaires les allocations en tous genres (obligés du fait du travail qui s'annule), restent stagner,
Ils augmentent les salaires de 2%, et la croissance ne repart pas, c'est qu'il faut encore augmenter
de quelques % les salaires, faut savoir ce qu'on veut, rester à la traine ou aller de l'avant.
Dans le système économique que nous avons créé, il n'y. pas de miracle, la base de son fonctionnement est l'offre et la demande, si on met des bâtons dans les roues de l'un ou de l'autre, rien ne va plus,
Au Japon en l'occurrence c'est comme en Europe, on veut de la croissance, mais on casse la demande,
Et le comble, on se demande pourquoi ça ne marche pas, c'est presque risible.