maintenant, le Chevalet raconte son histoire.
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et un internaute explique :
Merci a Michel Chevalet. Je suis Ingénieur Arts et Métiers et retraité âgé. J'ai dessiné, calculé et construit des dizaines de systèmes et usines a gaz au cours de ma carrière. Voici mon analyse sur le déraillement du train de Brétigny sur Orge le 12 juillet 2013.
1: Constat
Personne à ma connaissance, n'a jamais vu un tel assemblage se déboulonner seul, puis l'une des éclisses s'extraire seule, se déplacer seule, sur l'ensemble du réseau ferré SNCF.
2: Aspects Techniques
2-1: Pour un accouplement par éclisses, il en faut évidemment une paire, soit DEUX !. Une devant, l'autre derrière assemblées par 4, 5, ou 6 boulons, variable en fonction de la longueur des éclisses. Question : Personne ne parle de cette éclisse soeur. Était elle toujours sur le ballast?.
2-2: Une éclisse pèse environ 10 kg. C'est une plaque métallique simple et lourde, sans voilure, ni moteur, ni hélice ni réacteur et qui n'offre aucune prise au vent.
Question: Comment une telle pièce peut elle se déplacer?.Qui plus est, pour aller se loger précisément là ou ça fait mal?..
Pour s'en convaincre, faisons un essai. Posons une éclisse identique sur le ballast.On constatera alors au passage d'un train, que n'offrant aucune prise au vent, elle restera bêtement là ou vous l'avez posée.
Conclusion: Il est impossible qu'un accouplement par éclisses se déboulonne seul, que l'une des éclisses se déplace seule, et fasse disparaître sa sœur jumelle. Il est évident que cet assemblage a été démonté volontairement, puis l'une des éclisses placée dans le coeur d’aiguillage.
On nous prend donc bien pour des balourds.
Et si ma mémoire est bonne c'est ainsi que procédaient les résistants pour faire dérailler les trains. Le coeur d’aiguillage bloqué étant toujours privilégié pour causer un déraillement.
Fin du texte.
si vous désirez lui causer, suivez la vidéo, il est sur youtube.