Hier, c'était le fils qui a "sauté" le père. Aujourd'hui c'est différent, c'est le père qui se retire de lui-même au profit du fils. Le Qatar fait du "progrès" sur la voie de la "démocratie" par le procédé de...l'allégeance. Qui a conseillé l'émir sortant ?
Le Qatar change-t-il vraiment de main ?