Pour marquer l'histoire il faut des textes qui touchent mentalement les gens, le nom de l'auteur reste, mais il est peu de chose en comparaison de la puissance du verbe.
L'idolâtre consacre du temps à choyer les auteurs, l'homme honorable y préférera la lecture des mots qui élèvent la conscience.
Confucius à laissé des textes puissants aux résonances intemporelles, il reste un sublime expliquant capable de transcender les mémoires.