Le grand journal de Canal+ est «une machine à laver le cerveau» : « J’ai eu l’interdiction formelle de dire quoi que ce soit sur DSK »
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quelques commentaires:
gorgone a écrit le 16 avril 2013 à 12 h 15 min
Quand on voit la brochette des animateurs, grassement payés pour émettre de la pensée molle, clinique et aseptisée, on se demande si les imbéciles ne sont pas plutôt ceux qui regardent…
J’ai de la sympathie pour ce type qui est sorti de ce marigot choqué par l’industrialisation de l’idéologie.
newventilator a écrit le 16 avril 2013 à 12 h 13 min
Aphatie, c’est 35000 ou 40 000 il semble (il a du mérite, il cire bien les …)
et le Grand Inquisiteur à 100 000…mini.
Par mois bien évidement .
Faut pas déconner
Makemyday357 a écrit le 16 avril 2013 à 17 h 27 min
49 Gabriel a écrit le 16 avril 2013 à 13 h 41 min
Il est bien loin le temps de Les Nuls. On a toujours tendance à embellir le passé, mais je n’ai pas souvenir de cette période ou celle de De Caunes, de ces tribunaux improvisés et de cette orientation politique marquée jusqu’à la mauvaise foi. Aujourd’hui semble t-il, il y a de vrais nullards qui se croient intelligents et se sont autoproclamés procureurs de la pensée unique.
Plus d’abonnement, plus de redevance, c’est déjà ça qui n’engraissera pas tout ce système pourri jusqu’à la moelle.
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Les comiques de cette époques innovaient. C’était l’humour et la joie qui comptaient avant la propagande gauchiste, et il y avait une saine concurrence avec Les Inconnus. Les soi-disant humoristes fonctionnaires façon Aram ou Guillon qui dégoulinent de haine pour défendre l’ordre établi sont tristes à pleurer à côté et font plutôt penser à des Fouquier-Tinville à petits pieds.
Mais oui, n’embellissons pas : s’il n’y a avait pas de tribunaux populaires pour défendre les idéaux gauchos à Nulle Part Ailleurs à cette époque, c’est parce que les dissidents n’avaient pas du tout droit à la parole, on ne les invitait pas.