Lyssenko prétendait remplacer la science "classique" par une science "prolétarienne".
Ambrosia voulait donc dire que les scientifiques qui ont nié la notion de "race", s'agissant de l'espèce humaine, ce qui est le fait de la grande majorité des biologistes, actuellement, étaient des faux scientifiques, mais des vrais idéologues de l'anti-racisme, qui soutiennent leur position au nom d'une science dégradée, inféodée à l'idéologie.
Voilà pour le rapport, au moins dans son esprit.
Pour ce qui est du fond, la science moderne a évolué, à ce que j'ai cru comprendre, vers l'étude génétique de ce genre de question. La notion de "race" n'est pas génétiquement pertinente.
En revanche, sur le plan phénotypique, il est évident qu'un Blanc n'est pas un Noir, un Arabe pas un Scandinave, etc. Couleurs de peau, de poils, d'yeux, etc.
La notion de "race" reposant sur des éléments beaucoup moins rigoureux que ce que l'on peut tirer de l'étude des gênes a été abandonnée comme floue, inopérante.
S'agissant des Juifs, cela n'a aucune pertinence naturellement, puisque ce n'est pas une race, comme on le voit sur les photos ci-dessus particulièrement significatives.
C'est à l'origine une religion, qui admet la conversion, si bien qu'on y retrouve aussi bien des Falashas (les Noirs d'Ethiopie) que des Russes grand teint, ni les uns ni les autres n'ayant le moindre rapport ethnique avec les Palestiniens (ceux issus de la Terre prétendue d'Israël).
Parler de cela est aussi stupide que de se demander pourquoi il y a des musulmans arabes, mais aussi des Noirs (aux Etats-Unis, par exemple, et dans toute l'Afrique), ainsi que "jaunes" (Pakistan, Indonésie).