Cela doit être rigolo de développer des programmes informatiques en faisant plein de fautes d'orthographe ?

On peut faire plein de fautes dans le fichier d'aide par exemple ... mais ça n'a aucune incidence dans le langage informatique

une chanson que nous avons écoutée.

C'est la bonne orthographe ?

Oui. En revanche, nous avons écouté la chanson (substantif après le participe)

Mais j'observe que tous les exemples pris relèvent plus de la grammaire que de l'orthographe.

je me tape de l'analyse logique à dose d'une heure par jour programme de 6ème mais niveau 4ème.

je ne suis pas certaine de la pertinence de la chose.

si quelqu'un a un regard sur la chose...

la pertinence de faire des analyses logiques, de décortiquer pour décortiquer les phrases.

je me demande si ce n'est pas du même tonneau que d'apprendre aux enfants à distinguer ET et EST en mettant à l'imparfait ETAIT. Pourquoi ne pas bosser sur le sens plutot que de multiplier ces petits trucs ?

je me demande si ces pratiques ne relèvent pas de la mécanique idiote plutot que d'éveiller l'intelligence par le sens du choix des mots, des structures de phrases.

Je ne sais pas si je suis plus claire.

Un sujet qui pouvait avoir son intérêt réel a été fermé pour cause de trollage jusqu'à la moelle de certains vandales du net. Alors, je propose de reprendre les échanges sur des bases saines, comme à mon habitude.

Alors, je lance les hostilités…

Quand j'écris « l'ensemble des réponses » on attend un est ou un sont ? Instinctivement, je mettrai un « sont ».

Ce n'est pas l'orthographe qui est la science des imbéciles.. mais l'écriture ( le graphisme)..

Or l'écriture est le miroir d'une personnalité.

Et , l'ogre Napoléon avait une écriture carrément repoussante et même : "dégueulasse"...

ben pourquoi non ? ça peut pas faire de mal, et si ça te fait plaisir...

ttes façons, avec le latin, tu es censée en bouffer un max

il manque un exercice, en analyse logique, que j'impose par dessus le programme, c'est la mise en application des règles par la création de phrases (itou en latin et en anglais, les mots sont appris en situation de notre cru), là ça prend sens. Un truc que j'ai appris en éso, mettre en application ce que je lis pour le comprendre sinon c'est savoir, du blabla. manifester en somme, renaître avec, manger dans le sens d'intégrer. il y a de la passivité à ces décorticages de phrases.

Je ne sais pas, ma pensée n'est pas formée.

Cela doit être rigolo de développer des programmes informatiques en faisant plein de fautes d'orthographe ?

On peut faire plein de fautes dans le fichier d'aide par exemple ... mais ça n'a aucune incidence dans le langage informatique

Ca fait quand même minable une déclaration d'amour bourrée de fote d'aurtografes

je me tape de l'analyse logique à dose d'une heure par jour programme de 6ème mais niveau 4ème.

je ne suis pas certaine de la pertinence de la chose.

si quelqu'un a un regard sur la chose...

Je n'en sais foutrement rien.

Tout ce que je sais (témoignage, pas analyse), c'est que j'adorais cela, à l'école, cette manière de décomposr les phrases, de mettre en tableau le langage de tous les jours qui devenait "principale", "subordonnée", "pronom", "adjectif", "COD", etc.

Cela m'a poussé après vers le latin et le grec, l'allemand, pas comme des moyens de communication (pour les deux premiers, on s'en doute...), mais de structuration intellectuelle.

Ca m'a bien aidé quand, un peu plus tard, j'ai abordé l'affaire. Je veux dire le fait qu'il fallait non seulement savoir ce que l'on dit, mais aussi ce qu'on pense.

Quand je lis "j'ai manger" dans un courrier au boulot ou sur ce forum, ça me fait mal (je suis capable de faire la faute aussi, hein, mais il y en a qui le font systématiquement) parce que je me dis que le type qui écrit cela n'a pas dans sa tête les moyens pour penser. Quand je lis que des femmes ont été "défenduent" comme je l'ai lu récemment ici même, je suis anéanti, et je me dis : qu'est-ce qu'il peut y avoir dans la tronche d'un type qui peut écrire ça, qui peut écrire comme cela ?

(Et accessoirement : ne comprenons-nous pas par là comment tout le reste de ce qu'il dit n'est qu'un tissu de conneries).

Mais je ne professe aucune doctrine là-dessus et je crois que dans l'enseignement, il est très difficile de mesurer la part du corps affectant et du corps affecté, et je crois vrais les propos de Montaigne, quand il a dit que des paroles proférées appartenaient autant à ceux qui les énoncent qu'à ceux qui les entendent, également, partie pour partie.

Quand je lis que des femmes ont été "défenduent" comme je l'ai lu récemment ici même, je suis anéanti, et je me dis : qu'est-ce qu'il peut y avoir dans la tronche d'un type qui peut écrire ça, qui peut écrire comme cela ?

.

Moi quand je te lis, j'ai toujours une pensée pour l'aiglon.

ils ne sont pas assez présents à ce qu'ils font, écrire, c'est de la distraction.

c'est ce que j'en conclus avec les enfants et moi.

mais y'a un autre truc, délicat à exprimer.

la tournure d'esprit, souvent la tourne d'esprit impose de déroger à la règle.

par exemple, le présent de la première phrase, de par ma mentalité, je ne mettrais pas de S.

être présent, y'a qu'un présent même s'ils sont plusieurs à le pratiquer.

là encore, je ne sais pas trop si je suis audible... mais je trouve idiot de mettre un S et pourtant je le mets, pour avoir la paix, pour suivre les convenances mais je ne suis pas fière.

Tiré du site "Napoléon prisonnier".

"Son (Bonaparte) écriture était un assemblage de caractères sans liaison et indéchiffrables. La moitié des lettres manquaient aux mots. Il ne pouvait se relire, ou il ne voulait pas en prendre la peine.

L'orthographe de son écriture était incorrecte, quoiqu'il sût bien en reprendre les fautes dans l'écriture des autres. C'était une négligence passée en habitude ; il ne voulait pas que l'attention qu'il aurait donnée à l'orthographe pût brouiller ou rompre le fil de ses idées.

Dans les chiffres, dont l'exactitude est absolue et positive, Napoléon commettait aussi des erreurs. Il aurait pu résoudre les problèmes de mathématiques les plus compliqués, et il a fait rarement une addition juste.

Il est vrai de dire que ces erreurs n'étaient pas toujours commises sans dessein. Par exemple, dans le calcul du nombre d'hommes qui devait composer ses bataillons, ses régiments ou ses divisions, il enflait toujours le résumé total, car il jugeait nécessaire de donner le change sur la force de ces corps. Quelque représentation qu'on lui fît, il repoussait l'évidence et persistait opiniâtrement dans son erreur volontaire de calcul.

Ses billets étaient en général exempts de fautes d'orthographe, excepté dans les mots où ces fautes se représentaient invariablement. Il écrivait par exemple, cabinet, Caffarelli, gabinet, Gaffarelli, afin que, enfin que, infanterie, enfanterie.

Les premiers mots sont évidemment des réminiscences de sa langue maternelle, les seules qui lui soient restées de sa première enfance ; les autres, enfin que, enfanterie, n'ont pas d'analogie avec la langue italienne. Il parlait mal cette langue, et évitait les occasions de la parler. Il ne s'y résignait qu'avec des Italiens qui ne parlaient pas le français.

Son langage était un français italianisé, avec des terminaisons en i, en o, en a."

Un sujet qui pouvait avoir son intérêt réel a été fermé pour cause de trollage jusqu'à la moelle de certains vandales du net. Alors, je propose de reprendre les échanges sur des bases saines, comme à mon habitude.

Alors, je lance les hostilités…

Quand j'écris « l'ensemble des réponses » on attend un est ou un sont ? Instinctivement, je mettrai un « sont ».

Ce n'est pas l'orthographe qui est la science des imbéciles.. mais l'écriture ( le graphisme)..

Or l'écriture est le miroir d'une personnalité.

Et , l'ogre Napoléon avait une écriture carrément repoussante et même : "dégueulasse"...

Merci de m'honorer de ta présence toujours aussi percutante, dans mon modeste topic ; c'est toujours un plaisir. J'ai un petit doute, Lulu : est-ce correct d'écrire « elle a été retrouvée » ? Pourquoi/pourquoi pas ?

elle a été pris/prise.

choisissez.

Tiré du site "Napoléon prisonnier".

"Son (Bonaparte) écriture était un assemblage de caractères sans liaison et indéchiffrables. La moitié des lettres manquaient aux mots. Il ne pouvait se relire, ou il ne voulait pas en prendre la peine.

L'orthographe de son écriture était incorrecte, quoiqu'il sût bien en reprendre les fautes dans l'écriture des autres. C'était une négligence passée en habitude ; il ne voulait pas que l'attention qu'il aurait donnée à l'orthographe pût brouiller ou rompre le fil de ses idées.

Dans les chiffres, dont l'exactitude est absolue et positive, Napoléon commettait aussi des erreurs. Il aurait pu résoudre les problèmes de mathématiques les plus compliqués, et il a fait rarement une addition juste.

Il est vrai de dire que ces erreurs n'étaient pas toujours commises sans dessein. Par exemple, dans le calcul du nombre d'hommes qui devait composer ses bataillons, ses régiments ou ses divisions, il enflait toujours le résumé total, car il jugeait nécessaire de donner le change sur la force de ces corps. Quelque représentation qu'on lui fît, il repoussait l'évidence et persistait opiniâtrement dans son erreur volontaire de calcul.

Ses billets étaient en général exempts de fautes d'orthographe, excepté dans les mots où ces fautes se représentaient invariablement. Il écrivait par exemple, cabinet, Caffarelli, gabinet, Gaffarelli, afin que, enfin que, infanterie, enfanterie.

Les premiers mots sont évidemment des réminiscences de sa langue maternelle, les seules qui lui soient restées de sa première enfance ; les autres, enfin que, enfanterie, n'ont pas d'analogie avec la langue italienne. Il parlait mal cette langue, et évitait les occasions de la parler. Il ne s'y résignait qu'avec des Italiens qui ne parlaient pas le français.

Son langage était un français italianisé, avec des terminaisons en i, en o, en a."

Qui est l'auteur de ce torchon fion ?

Perfide Albion.

elle a été pris/prise.

choisissez.

– elle a été prise pour une conne.

– Elle a été pris la main dans le sac.

La seconde sonne moins bien ; mais bon, je sais pas.

elle a été pris/prise.

choisissez.

même pas vrai, j'étais en pantalon moulant, IMPOSsIBLe !