Je me sens dans le devoir d'intervenir pour calmer un peu les esprits. Rassurez-vous les enfants, il n'y aura pas de surpopulation au sein d'un genre ou d'un autre. Le Seigneur veille au grain. Là où l'humain retranche, le Très Haut comble le vide. C'est un équilibre divin immuable. C'est comme ça.
Ensuite, le petit (qui fait 10 km pour ramener sa fiotte lol) n'a pas forcément tort. C'est vrai que lorsque tu as la chance d'être isolé de la pourriture occidentale – au sens large – tu te satisfais très bien de l'environnement que tu as façonné selon tes convenances et dont tu disposes. Ça devient plus problématique quand on commence à te créer des besoins que tu ne peux pas satisfaire. A ce moment, il y a frustration ; pas avant.
Bon, j'espère que vous vous sentez déjà mieux…
Tout à fait, la frustration et l'impuissance y'a rien de pire pour te rendre malade.
Aspirer à mieux, c'est normal, mais la base c'est au moins de se satisfaire de ce que tu as.Quand personne te réveille, t'es au paradis :
Salut mon bébé ; comment tu vas ?
Quand même je crois qu'il faut s'entendre sur la notion de « mieux ». Aujourd'hui, bien des gens pauvres (certainement la plupart vu le comportement d'État – voyou des USA et de leurs sert cafés) rejettent en bloc le matérialisme exacerbé prôné ostensiblement par ces derniers.
Même chez nous, nombreux sont les altermondialistes (j'inclus l'extrême droite) qui en ont raz la mèche de toutes ces coteries dans les hautes sphères économiques et politiques. Certains, dont je fais parti, croient à la décroissance et à la satisfaction de ses simples besoins, sans plus*. Et tout ça avec une plus juste répartition des richesses à l'échelle mondiale. Donc, ce n'est pas non plus une règle immuable que de dire que la tentation inassouvie rend malheureux. Enfin si, mais encore faut-il être tenté…
MXpfRsQSy8s
*Faut pas trop écouter le petit.
Salut mon poussin, ça va bien, j'ai réussi à récupérer.
Sinon, pour la tentation, généralement je ne me laisse aller à être tentée et faire ce qu'il faut pour, que si je sais que je peux l'avoir, sinon, je m'en passe, et ne vendrais jamais mon âme au diable pour cela.
J'aime bien les plaisir que l'argent peut permettre de vivre, j'aime les châteaux comme le camping mais ce qui m'est essentiel, vient du coeur, comme dans le petit prince. sans ça, tout à le même gout chez moi.