Une fois encore, pour nombre de citoyen, la priorité fut de faire partir Sarkozy qui avait une conception particulière du pouvoir. Nul n'osa interroger Hollande sur ses déclarations, sur son programme et on s'étonne de ce qui se passe aujourd'hui ? Allons, à force de ne pas nous montrer exigeant envers la classe politique ne nous plaignons pas. La seule chose qu'ils craignent, ce sont nos bulletins de vote !