Bonjour,
Le sérieux de la chose dépend évidemment de la chose disante.
Parce que nous parlons en nous prenant au sérieux
et pour être plus sérieux que l'autre (?) il faut au moins dire que l'autre est moins sérieux.
C'est la comparaison déclassante
à supposer que le sérieux se médaille proprement.
Plus intéressant est la chose dite
à défaut de pas être dite
on s'ennuie tout seul.
D'où certainement les gens qui se contredisent en répliquant autrui. Peut-être ?
Suivant un peu de Corte là où l'a amené Marcel
nous voyons toute la nécessité de faire attention à la notion changeante.
Des fois que le ciel nous tombe sur la tête
il y a évidemment des modernités funestes qui se dégustent notre santé.
Par exemple le contre-environnemental à défaut de la solidité en chef.
Rappelant par là ses certitudes d'être mieux en royaume que le royaume ne l'est.
Et surtout que la révolution ne vient pas de l'idée progressiste suivante
mais bien du manque que sème le privilège occasionnant la ceinture serrant la mort populaire.
Marcel a certainement raison d'afficher son désamour aventureux
mais son amour à lui n'équivaut pas vérité.
Qu'il y a donc en tout un mélange faisant qu'on se bascule gaiement entre des notions pas toujours évaluées
à se pencher plus vers sa préférence(s) que les justifications avancées.
Nous sommes tous un peu de cela cherchant (?) des équilibres im/propres là où il y a lieu de déterminer ce que nous nommons chemin (de vie).
Défauts de l'avant contre défaillances passées
faut-il encore tirer leçon juste pour ne pas s'émietter dans l'ennui, la paresse ou l'absurde à ne rien faire en croyant bien faire ?
Il y a celle qui nous rançonne le coeur et nous immobilise le train
mais il faut reconnaitre que même l'immobilisme sociétal à engager la propriété publique (la société humaine ?)
vers les cieux mieux conditonnés
se plait la complaisance orgueilleuse au détriment humain. Et surement ce que dénonce de Corte la terre malmené.
Entre vaches à lait et maigritude enrichissante
le destin qui pourrait entrevoir le parfait ne s'appelle donc point la contradiction générale à ancrer le mal en point
mais l'existentiel qui voyage l'à venir en "festivant" à bien(s).
Ce qui ne meurtrit pas et qui améliore.
... ...