Où est l'approbation morale ?
mais il n'y en a pas ; où ai-je dit qu'il y en avait une ?
vous devenez lourdingues.
Non seulement il 'y en a pas mais il y a une désapprobation morale qui a été répétée.
Dès lors la conclusion logique s'impose, quand on aime l’Église et ce qu'elle enseigne, par Amour plutôt que par contrainte(condamnation interdiction), on ne peut que rejetter sans réserve ces spectacles et laisser à leur misères les tarés qui persistent à y aller, tels des incurables libéraux qui n'écoutent pas la voix du Pape