Pas mal pour un "communiste" il y a du bien... C'était pas négatif et sa position contre l'impérialisme amerloque et la guerre en Libye était bien sympathique.

mince...je suis d'accord avec Scottie...c'est pas souvent ;)

Il faut attendre la nécro d'Emain.

Je la fais a ca place si tu veux ?

Hugo Chavez était un

Il est mort 60ans jour pour jour après Staline. Sa va encore faire parler la propagande américaine ...

Je ne sais pas vraiment quoi penser de cet homme. J'ai beaucoup de défiance vis à vis des socialistes pourtant il semble avoir réussi à améliorer les conditions de vie de ses concitoyens sans s'attaquer à la propriété privée en dehors des grandes sociétés disposant de monopoles importants. Il a nationalisé de grandes compagnies mais n'a pas sombré dans le communisme, en tout cas c'est l'image que j'en ai avec mes faibles connaissances le concernant.

Il a nationalisé le pétrole du pays pour qu'il profite au peuple vénézuelien se qui a enervé les américain. Pour provoqué le gouvernement Bush, il allait remplir gratuitement les cuves de fioul des familles pauvre dans les quartiers pauvres de certaines villes américaine.

Je ne sais pas vraiment quoi penser de cet homme. J'ai beaucoup de défiance vis à vis des socialistes pourtant il semble avoir réussi à améliorer les conditions de vie de ses concitoyens sans s'attaquer à la propriété privée en dehors des grandes sociétés disposant de monopoles importants. Il a nationalisé de grandes compagnies mais n'a pas sombré dans le communisme, en tout cas c'est l'image que j'en ai avec mes faibles connaissances le concernant.

Il a nationalisé le pétrole du pays pour qu'il profite au peuple vénézuelien se qui a enervé les américain. Pour provoqué le gouvernement Bush, il allait remplir gratuitement les cuves de fioul des familles pauvre dans les quartiers pauvres de certaines villes américaine.

Les ricains l'ont d'ailleurs sûrement assassinè.

Moi encore moins ..... mais je doute de la véracité du truc

Pas moi, l'Amérique du sud est un bordel racial sans nom (indigènes, européens, anciens esclaves noirs...)

Le matriarcat et le totémisme en sont les caractéristiques les plus marqués. Ils ont reçu ces traits culturels des égypto-nubiens dans l’antiquité.

Ah, je suppose que les Égyptiens kémites les ont visités avec leur vaisseaux ailés atlantes ?

Chavez était un type aussi sympathique que l'ex-président du Bresil Lula.

Pour ces vrais gens de gauche, un President doit être au service du peuple et non des Lobbys.

Pourvu que leurs successeurs se montrent à la hauteur.

on entend déjà la CIA se frotter les mains et aiguiser leurs crocs....

Chavez était un type aussi sympathique que l'ex-président du Bresil Lula.

Pour ces vrais gens de gauche, un President doit être au service du peuple et non des Lobbys.

Pourvu que leurs successeurs se montrent à la hauteur.

on entend déjà la CIA se frotter les mains et aiguiser leurs crocs....

Allez hop, une petite déstabilisation du pays made in CIA et le Vénézuéla retourne dans le giron yankee.

Un grand dirigeant et vrai socialiste au service de son peuple, ennemi du nouvel ordre mondial est mort.

Je suis triste pour le vaillant peuple vénézuélien.

Gloire éternelle à Hugo Chavez !

:( :(

Il était aussi un grand admirateur de mao et de la Chine ...

Hugo Chavez aimait cultiver son image de dirigeant incontrôlable, fantasque, imprévisible comme s'il était entré en 1999 au palais présidentiel de Miraflores par hasard et sans préparation. La réalité est toute différente. Il a très tôt dans sa vie conçu le projet de diriger le Venezuela et n'a jamais perdu cet objectif qu'il a fini par atteindre en 1999. Il venait de se faire réélire à la tête du Venezuela le 7 octobre 2012.

Un cancer dans la région pelvienne détecté à Cuba en juin 2011 a eu raison du leader bolivarien, après quatre opérations chirurgicales infructueuses. «Nous avons reçu l'information la plus éprouvante et la plus tragique que nous puissions annoncer à notre peuple. À 16H25 aujourd'hui 5 mars, est mort notre commandant président Hugo Chavez Frias», a déclaré à la télévision publique le vice-président vénézuelien Nicolas Maduro.

Son ami d'enfance, Federico Ruiz, raconte cette anecdote : «En 1983, nous sommes partis nous promener tous les deux dans un Dodge Dart qui lui appartenait, avec une bouteille de rhum. Il m'a dit : “Sais-tu une chose ? Un jour, je serai président de la République.”» Federico poursuit: «Alors tu me nommeras ministre de je-ne-sais-quoi, ai-je plaisanté… Mais je me suis rendu compte qu'il parlait sérieusement…»

Une vision messianique de son destin

Né le 28 juillet 1954, il évoquait, dès 1977, la vision messianique de son destin dans son journal intime : «Je dois me préparer pour agir… Mon peuple est passif… Les conditions ne sont pas réunies. Pourquoi ne pas les créer…» En 1977 en effet, le pays connaît une situation politique stable et économique florissante qui rendait incongrue toute tentative de renversement du régime.

Il est entré dans l'armée en 1971 pour devenir champion de baseball. Mais très vite son frère aîné Adan, membre du Parti révolutionnaire vénézuélien, lui enseigne les rudiments de la pensée révolutionnaire. Petit à petit, le jeune Hugo entre en contact avec des groupes clandestins de l'armée qui fomentent des projets pour renverser le pouvoir en place. Avec ses camarades, ils rêvent de reproduire l'expérience du général Velasquez au Pérou ou de Trujillo au Panama. Hugo Chavez raconte son voyage à Lima en 1974 pour la célébration de la bataille d'Ayacucho : «J'avais 20 ans, j'étais en dernière année d'académie… J'ai rencontré personnellement Juan Velasco Alvardo (renversé quelques mois plus tard). J'ai lu pendant des années son manifeste révolutionnaire, La Revolucion nacional peruana que le général péruvien lui avait offert.» Hugo Chavez résumait ses influences ainsi : «Torrijos m'a converti en torrijiste, Velasco en velaquiste et Pinochet en antipinochet » et non en allendiste, le président socialiste chilien qui s'est suicidé lors du bombardement du palais présidentiel chilien, le 11 septembre 1973.

Un héros national a pris une place privilégiée dans la pensée politique d'Hugo Chavez : Simon Bolivar, dont il n'hésite pas à «interpréter » les théories, pour en faire un nationaliste promoteur de la démocratie et défenseur du droit des plus faibles et des peuples indigènes. Un vrai anachronisme qui transforme el Libertador en combattant prémarxiste. Le 24 juillet 1983, lors du 200e anniversaire de la naissance du héros national, Hugo Chavez fonde au sein de l'armée le Movimiento bolivariano revolucionario 200 (MBR 200). Après une longue préparation, le MBR 200 organise finalement un coup d'État, le 4 février 1992. De nombreuses casernes se soulèvent à travers le pays. Ironie de l'histoire, Fidel Castro, autre grand modèle d'Hugo Chavez, enverra un message de soutien au président Carlos Andres Perez.

«Pour le moment»

À Maracaibo, Valencia ou Maracay, les forces putschistes tiennent les principaux points névralgiques, mais à Caracas, les choses s'avèrent plus compliquées: la tentative de capture du président Carlos Andres Perez échoue et les forces loyalistes font plus que résister. Très vite, Hugo Chavez comprend que la partie est perdue. Il décide de se rendre, alors que ses camarades de province continuent le combat. Car Hugo Chavez a un projet politique personnel et il sent que son heure n'est pas encore venue. Il se rend au ministère de la Défense et dépose les armes. Les autorités lui demandent de faire une allocution télévisée pour appeler ses compagnons à se rendre. Le message devait initialement être contrôlé mais, par manque de temps, il est enregistré sans préparation. Hugo Chavez en profite alors pour dire : «Compagnons, lamentablement, pour le moment, les objectifs que nous nous étions fixés n'ont pas pu être atteints dans la capitale » Pour le moment ! Une fois président, il fera du 4 février le jour de la Dignité nationale.

Il reste deux ans en prison. Le président Perez est destitué en 1993 pour détournement de fonds publics. Le président Rafael Caldera qui lui succède gracie Hugo Chavez, l'estimant moins dangereux hors de prison. Libéré le 26 mars 1994, Hugo Chavez entreprend un long voyage à l'intérieur du Venezuela.

Il vivra deux ans dans une camionnette sillonnant tout le pays pour rencontrer le Venezuela de l'intérieur. Il s'installe ensuite à Caracas dans un petit appartement où vit la famille de son ami Luis Miquilena. Ce vieux communiste réussit à le convaincre que les urnes sont un moyen plus efficace pour entrer au palais de Miraflores qu'un coup d'État. La situation politique est très instable et les partis politiques traditionnels totalement discrédités.

Un an avant l'élection présidentielle de 1998, c'est une ex-reine de beauté qui est en tête dans les sondages. Maintenant qu'Hugo Chavez est convaincu qu'il doit gagner les élections, son discours se fait plus politique, il promet une nouvelle Constitution, la fin de la corruption, l'augmentation des salaires. Il veut incarner l'antipolitique et y parvient.

• Toujours le 6 décembre, le journal télévisé revient sur les raisons du succès de la campagne de Chavez.

Il gagne avec 56 % des voix la présidentielle. Prêtant serment le 2 février 1999, il jure «sur la Constitution moribonde qu'il impulsera les changements démocratiques nécessaires ». Il organise ensuite une série de scrutins qu'il emporte haut la main : référendum, constituante, nouvelle présidentielle, législatives. L'opposition semble écrasée, sans capacité de réagir.

Depuis sa première victoire dans les urnes en 1998, Chavez a toujours conservé une forte popularité grâce, notamment, à ses programmes sociaux qui ont amélioré la vie de millions de Vénézuéliens jusque-là exclus des bénéfices d'une fantastique rente pétrolière. Mais son allié le plus efficace a toujours été l'opposition, qui a accumulé les erreurs. Le 11 avril 2002, un putsch est organisé contre lui. Il suit les conseils de Fidel Castro qui, dans la nuit où le président est arrêté, lui explique au téléphone : « Négocie avec dignité, ne va pas t'immoler… » Les hésitations et les incohérences dans les rangs des putschistes finissent par remettre Hugo Chavez en selle et lui permettent de gagner l'image de garant de la stabilité.

Mais cela ne suffit pas à l'opposition. Une «grève insurrectionnelle » débute en décembre 2002 dans l'industrie pétrolière. Elle est organisée par la Confédération des travailleurs du Venezuela (CTV) et la fédération patronale, Fedecamaras. L'activité de PDVSA, la compagnie pétrolière nationale, est totalement bloquée. Les livraisons de pétrole aux États-Unis sont interrompues. Hugo Chavez utilise la solidarité avec les autres pays producteurs de pétrole pour honorer les contrats internationaux du pays. La grève durera deux mois et son but est clairement la destitution de Chavez. L'opposition en sort laminée. Hugo Chavez licenciera plus de 19 000 salariés de PDVSA, soit la moitié de l'effectif.

L'opposition fera une nouvelle erreur en refusant de se présenter aux législatives de 2005, permettant aux partisans de Chavez d'occuper tous les sièges et laissant le pouvoir chaviste sans contrôle.

Ces années de pouvoir ont révélé un Chavez provocateur, cabot, combatif, surprenant parfois, mais surtout un homme qui adorait se mettre en scène. Chaque dimanche, il apparaissait dans un programme appelé «Alo presidente ». L'émission commençait en général vers 11 heures du matin pour durer plusieurs heures. Sans plan précis, le programme avançait grâce aux talents d'improvisation du président. Il n'était pas rare qu'il pousse la chansonnette ou récite des poèmes. Il pouvait aussi licencier en direct des personnages importants de son administration ou annoncer la nomination de ministres clés, comme il le fit en 2004 en révélant le nom des nouveaux ministres des Relations extérieures et de l'Information. Ces dernières années, il avait habitué les Vénézuéliens à nationaliser des entreprises en direct.

Un pays économiquement affaibli

En février 2010, passant devant l'immeuble La France situé sur la place Bolivar au centre de Caracas, il demande : «Cet immeuble, c'est quoi ?» Un immeuble qui regroupe des bijoutiers, lui répond-on. «Qu'on le nationalise !», s'écrie-t-il. On apprit ensuite que l'immeuble appartenait à l'Université, donc à l'État.

Il multipliait les propos outranciers contre Israël ou les déclarations belliqueuses contre Washington, tout en continuant de livrer son pétrole aux États-Unis. Il s'était montré en compagnie de hauts responsables des Farc (Forces armées révolutionnaires de Colombie), au balcon de Miraflores. Il aimait surprendre aussi, comme lorsqu'il lança à Barack Obama récemment élu, lors du sommet de Trinidad en avril 2009: «Je veux devenir votre ami .» Il lui offrit un livre dénonçant les forfaits commis par les États-Unis en Amérique latine, Les Veines ouvertes de l'Amérique latine, d'Eduardo Galeano. Ce jour-là, il laissa à Evo Morales, le président bolivien, et Daniel Ortega, son homologue nicaraguayen, le soin d'attaquer Washington.

Hugo Chavez laisse un pays économiquement affaibli. La production pétrolière stagne depuis que tous les cadres ont été licenciés, l'exploitation gazière ne décolle pas, les industries de l'aluminium et du ciment, florissantes à la fin des années 1990, sont pratiquement arrêtées depuis leur nationalisation. L'insécurité atteint des niveaux intolérables et l'inflation dépasse allégrement les 20 %.

Hugo Chavez a officiellement appelé à voter pour son vice président, Nicolas Maduro, lors de l'élection présidentielle qui sera organisée dans les semaines qui viennent. Mais le chavisme peut-il survivre à la mort de son mentor? Rien n'est moins sûr.

http://www.lefigaro.fr/international/20 ... cateur.php

Pour la relève, ça va vraiment être compliqué de trouver un dirigeant à la hauteur. Il restera un mythe vénézuélien ; dans toutes les mémoires de tous les altermondialistes du monde. Il n'a jamais baissé la tête et a toujours voulu montrer que le peuple vénézuélien était un peu plus digne. En tout cas pas moins que le peuple américain.

De toutes façons, un point de non-retour a été franchi. Désormais, les vénézuéliens ne prendront plus jamais de Pantin!s nord américains. Allez, juste pour le plaisir…

xfhqsg_chavez-allez-au-diable-yankees-de-merde_news#.UTbstEnLTfI

katou tu te fous de la gueule du monde ! Le grand Hugo n'a jamais livré de pétrole à Washington. Pour montrer qu'il n'avait rien contre le peuple des États-Unis mais que il ne peut pas piffrer ceux qui sont au pouvoir, il s'amusait à les narguer en livrant du pétrole gratuitement aux gens de la base souvent dans le Bronx. Qu'il soit un admirateur de Mao Tsé toung, c'est normal et il ne fait que remonter dans mon estime parce que le grand timonier était aussi un héros à sa manière.

Hugo Chavez laisse un pays économiquement affaibli. La production pétrolière stagne depuis que tous les cadres ont été licenciés, l'exploitation gazière ne décolle pas, les industries de l'aluminium et du ciment, florissantes à la fin des années 1990, sont pratiquement arrêtées depuis leur nationalisation. L'insécurité atteint des niveaux intolérables et l'inflation dépasse allégrement les 20 %.

Hugo Chavez a officiellement appelé à voter pour son vice président, Nicolas Maduro, lors de l'élection présidentielle qui sera organisée dans les semaines qui viennent. Mais le chavisme peut-il survivre à la mort de son mentor? Rien n'est moins sûr.

http://www.lefigaro.fr/international/20 ... cateur.php

Quand on regarde l'inflation du Vénézuela sur les 20 dernières années, la période Chavez est plutôt positive.

Et quand on voit la situation économique dans l'OCDE, il est difficile de donner des leçons de bonne gestion à ce pays.

.....

Pourfendeur de "l'impérialisme yankee", même s'il n'a jamais cessé ses livraisons de pétrole aux Etats-Unis, Hugo Chavez se présentait en héritier du leader cubain Fidel Castro et cultivait une image iconoclaste en prenant régulièrement la défense de dirigeants controversés ....

http://www.bfmtv.com/international/hugo ... 64062.html

Hugo Chavez laisse un pays économiquement affaibli. La production pétrolière stagne depuis que tous les cadres ont été licenciés, l'exploitation gazière ne décolle pas, les industries de l'aluminium et du ciment, florissantes à la fin des années 1990, sont pratiquement arrêtées depuis leur nationalisation. L'insécurité atteint des niveaux intolérables et l'inflation dépasse allégrement les 20 %.

Hugo Chavez a officiellement appelé à voter pour son vice président, Nicolas Maduro, lors de l'élection présidentielle qui sera organisée dans les semaines qui viennent. Mais le chavisme peut-il survivre à la mort de son mentor? Rien n'est moins sûr.

http://www.lefigaro.fr/international/20 ... cateur.php

Quand on regarde l'inflation du Vénézuela sur les 20 dernières années, la période Chavez est plutôt positive.

Et quand on voit la situation économique dans l'OCDE, il est difficile de donner des leçons de bonne gestion à ce pays.

nous donneurs de leçons, il n'y a plus que ça que nous pouvons donner dans le ridicule effectivement.

Chavez avait trouvé un pays exploité avili par les states, il l'a redressé, rendu sa fierté à son peuple et s'il persiste quelques erreurs trouvez un dirigeant ayant autant fait que cet homme là pour son pays. pas les notres toujours!!!! surement pas les nôtres!!!

.....

Pourfendeur de "l'impérialisme yankee", même s'il n'a jamais cessé ses livraisons de pétrole aux Etats-Unis, Hugo Chavez se présentait en héritier du leader cubain Fidel Castro et cultivait une image iconoclaste en prenant régulièrement la défense de dirigeants controversés ....

http://www.bfmtv.com/international/hugo ... 64062.html

gyBFECxztSc

on vient de t'expliquer que ces phrases là sont diffamatoires. Ma chère petite katou, tu aurais quand même pu t'en rendre compte en voyant la source de cet article. BFMTV, enfin, soyons sérieux…