On reprend le lien d'Olmary qui est un vrai cas d'école:
Il parle d'une étude contesté:
Pour M. Vécho, des problèmes méthodologiques existent, mais ils n'invalident pas ces travaux. Les enquêtes en psychologie portent en effet rarement sur de vastes échantillons, encore moins quand les personnes ciblées sont très minoritaires
Ok pourquoi pas ?
Puis
"On ne sait pas ce qui se passe quand le milieu économique est plus modeste, observe M. Vécho. On ne peut donc pas généraliser les résultats
Traduction: les opposants ont raison. Ces études ayant étés commanditées par des assoces LGBT au sein de milieux bien choisis genres hyper-classe New-Yorkaise ayant les moyens de payer nounous et écoles privées en cas de blème, ces études ne démontrent rien non plus dans le sens contraire.
Puis sur une étude de Mark Regnerus ils reconnaissent ça:
L'article montre que les enfants de "mères lesbiennes" rencontrent davantage de difficultés que les enfants de familles "intactes" sur une série d'indicateurs (apprentissage, intégration sur le marché du travail, usage de drogues, etc
......comme c'est un peu génant, Le Monde nous sert un scoop du tonnere:
En outre, les tableaux présentés montrent que des différences relevées chez ces enfants se retrouvent également chez les enfants de familles recomposées ou de parent isolé
Ça par exemple ! Les familles déséquilibrées quelle qu'elles soient produisent plus souvent des mômes à problèmes!
Si on nous l'avait pas dit on l'aurait pas cru !
Raison de plus, n'est pas ?...... pour confier des enfants à des couples dont on est sûr à 95 % qu'ils ne passeront pas le cap des 5 ans.
Grandiose de logique.