Le 12 septembre 2006, Benoît XVI prononce à l'université de Ratisbonne, en Bavière - où il fut successivement étudiant et professeur -, un discours qui va à la fois mettre au premier plan de l'actualité mondiale et modifier en profondeur les relations entre le Saint-Siège et l'islam. De tout temps, celles-ci furent tumultueuses. Tout au long du Moyen Âge, le musulman représente, aux yeux du chrétien occidental, une véritable menace. Et il faut attendre le XIXe siècle pour que des Goethe ou des Charles de Foucauld commencent à se passionner pour l'islam et en étudient les textes. En 1965, Paul VI, avec sa déclaration Nostra aetate, va réellement donner au dialogue interreligieux un statut officiel pour les catholiques, en reconnaissant notamment "les valeurs spirituelles, morales ou socioculturelles" des autres grandes religions comme le judaïsme et l'islam. Héritier de ces avancées, Jean-Paul II va instaurer une nouvelle dynamique, visant à susciter "un mouvement mondial de prière pour la paix". Avec Ratisbonne et ses conséquences à la fois tragiques et fructueuses, Benoît XVI a franchi assurément un nouveau cap, celui du dialogue. Pour Le Point.fr, Vincent Aucante, auteur de Benoît XVI et l'Islam (Parole et silence, 2008), revient sur le "tournant Benoît XVI" et l'ébauche de réconciliation que le 265e souverain pontife laisse en héritage. Le Point.fr : Benoît XVI a-t-il marqué une rupture dans les rapports qu'entretient l'Église catholique avec l'islam ? Vincent Aucante : Je ne parlerais pas de rupture, mais davantage d'un "tournant", d'une nouvelle façon de regarder l'islam, et les autres religions en général. Avec Benoît XVI, pour la première fois, un pape cite le Coran et fait référence à un mystique musulman. C'est une véritable avancée, mais ça ne tombe pas comme un cheveu sur la soupe. Jean-Paul II avant lui avait montré à quel point le rapprochement des religions était important. Il y a d'abord le concile de Vatican II, qui met fin à l'anathème et révèle un certain esprit d'ouverture, puis les appels à un "mouvement mondial de prière pour la paix" unissant les croyants de toutes les religions - je pense par exemple au discours de Casablanca d'août 1985 -, et enfin, l'expression "esprit d'Assise", du nom de la rencontre qui eut lieu en Italie en 1986 et qui illustre bien la volonté de concorde "face au spectre épouvantable des guerres de religion qui ont ensanglanté l'histoire humaine". Alors qu'en toile de fond, on avait déjà une montée inquiétante de l'intégrisme, Jean-Paul II prônait le rassemblement et la prière universelle. Benoît XVI, lui, va aller encore plus loin en essayant d'instaurer un dialogue et de le proposer à tous. C'est un dialogue inscrit dans la raison, et c'est bien la première fois que l'on observe une démarche aussi affirmée de la part des catholiques. Il a véritablement ouvert la voie à une réconciliation entre musulmans et chrétiens. N'était-ce pas nécessaire avec la montée du fondamentalisme religieux ? Je pense, en effet, que le contexte mondial y est pour beaucoup. La montée de l'intégrisme qui se revendique musulman impose, sinon une réaction, du moins une profonde réflexion. Benoît XVI ne va pas hésiter à fustiger cet Occident qui devient individualiste et tous ceux qui laissent de côté la raison pour s'en remettre à la seule foi. En quoi le discours de Ratisbonne, en septembre 2006, est-il déterminant ? Disons que les répercussions médiatiques et les conséquences tragiques de ce discours ont mis au premier plan de l'actualité mondiale la question des relations entre le Saint-Siège et l'islam. Mais cette allocution qui a tant marqué les esprits s'inscrit dans un tout, le discours du pape étant avant tout centré sur le reproche fait à l'Occident d'avoir perdu la raison. Pour Benoît XVI, la violence ne saurait être légitimée par une communauté religieuse particulière. Le problème, c'est qu'il utilise, pour illustrer son propos, un texte écrit au XIVe siècle par l'empereur byzantin Manuel II Paléologue, qui relate une polémique avec un érudit musulman persan à propos du djihad. "L'empereur, avec une rudesse assez surprenante qui nous étonne, raconte Benoît XVI, s'adresse à son interlocuteur simplement avec la question centrale sur la relation entre religion et violence en général, en disant : Montre-moi donc ce que Mahomet a apporté de nouveau, et tu y trouveras seulement des choses mauvaises et inhumaines, comme son mandat de diffuser par l'épée la foi qu'il prêchait." Pour les musulmans, c'en est trop ? En effet, Benoît XVI va être accusé de lier la foi musulmane à la violence, de critiquer le djihad et le Prophète. Dans les jours qui suivent le discours de Ratisbonne, de violentes réactions éclatent dans le monde musulman. En Irak et en Somalie, les représailles contre les chrétiens font plusieurs morts. En Palestine, des cocktails Molotov sont lancés contre les églises de Naplouse et la plus vieille église orthodoxe de Gaza est victime d'attaques armées et d'un jet de grenade. Pour beaucoup, la citation de Manuel II est une provocation, dont le pape aurait pu se passer. Vous le pensez aussi ? Je crois davantage à une maladresse. La citation n'était pas très heureuse. Il est vrai qu'il aurait pu choisir un texte mettant en scène un musulman face à un musulman. Il aurait ainsi évité cette opposition frontale. Malgré tout, c'est un homme cultivé et parfaitement conscient de la diversité des courants de l'islam. Il sait qu'on ne peut pas prendre en considération l'islam dans sa totalité et que son discours n'était pas destiné à l'ensemble des musulmans, mais aux dérives que peut engendrer l'extrémisme. Les intellectuels et religieux n'ont pas tardé à répondre... Les réactions sont arrivées de partout. Certains, comme Dalil Boubakeur, le président du Conseil français du culte musulman, ont appelé à une clarification. D'autres, comme les Oulémas de l'université Al-Azhar du Caire, fustigent "l'ignorance" du pape "qui attribue à l'Islam ce qui ne lui appartient pas". D'autres encore, comme l'Aga Khan, chef de la branche ismaélite, tout en redoutant une dégradation des relations entre chrétiens et musulmans, y voient une occasion de crever l'abcès. Le pape va revenir plusieurs fois sur ses propos à partir du 17 septembre et s'excuser pour le malentendu. Je pense vraiment qu'il considérait avoir fait un discours subtil, et qu'à aucun moment il n'imaginait qu'on puisse se focaliser ainsi sur une petite partie du propos. Il ouvre ensuite des réunions de travail au Vatican... En effet, peu de temps après la réponse du pape, la commission sur le dialogue interreligieux au Saint-Siège, présidée par le cardinal Tauran, invitait les principaux représentants de l'islam et de l'Église catholique. On sait très peu de choses de ces réunions qui se tiennent à huis clos, mais on sent bien que quelque chose est en train de se passer. La maladresse de Ratisbonne a certes eu des conséquences tragiques dans le monde arabe, elle n'en restera pas moins à l'origine de cet échange imprévu et fructueux entre les deux religions. Le voyage pontifical en Turquie en novembre 2006 symbolise-t-il cette nouvelle relation ? Le déplacement avait été prévu avant le discours de Ratisbonne, et, malgré les émois suscités dans le monde arabe, n'a pas été remis en cause. Ce qui est relativement courageux étant donné que le discours de Ratisbonne visait précisément à préparer celui d'Ankara pour aborder l'histoire tourmentée des relations entre chrétiens et musulmans turcs. Benoît XVI mise alors davantage sur le petit geste et la symbolique, comme le faisait très bien son prédécesseur Jean-Paul II, plutôt que sur de grands discours. Et il a raison. L'image du pape s'arrêtant quelques instants pour méditer dans la mosquée Bleue, incarne parfaitement le nouveau tournant de l'Église. Y a-t-il eu un avant et un après Ratisbonne ? Je pense que Benoît XVI est devenu beaucoup plus prudent. À partir de 2006, il ne cite plus l'"islam" en tant que tel et préfère s'adresser aux "musulmans". Ses discours importants sont d'ailleurs, en général, bien plus rares. Comme s'il avait peur d'une nouvelle erreur d'interprétation. Son successeur va bien entendu devoir tenir compte des changements opérés, et avancer sur le chemin sinueux de la réconciliation. Depuis sa conférence de Ratisbonne, le pape Benoit XVI est devenu PNG en terre d'islam. Selon le Parisien Libéré, le problème numéro 1 de son successeur sera l'islam.

L'islam est un problème majeur pour tout le monde, à commencer par les musulmans !

vous montrez du doigt la mondialisation, l'universalisme, etc. et d'un autre côté, vous jouez son jeu de destruction au sujet du monde musulman. chez d'autres, c'est le même proces' avec la cathophobie. bous sommes totalement contaminés.

Je ne savais pas que les catholiques faisaient parler d'eux par le terrorisme. Tous les jours l'islam fait parler de lui pour son terrorisme dont l'instigateur, il ne faut pas l'oublier, était mahomet le tout premier qui a semé la terreur avec ses hommes en détroussant les caravanes de marchands et en rasant des tribus juives, sans parler que mahomet faisait tuer ses détracteurs. Eh bien, l'application de mahométisme, nous pouvons toujours le voir de nos jours. Je pense que B16 connait très bien le danger, même si ..., et la source de ce danger est ce qui est cité ci dessous ... "L'empereur, avec une rudesse assez surprenante qui nous étonne, raconte Benoît XVI, s'adresse à son interlocuteur simplement avec la question centrale sur la relation entre religion et violence en général, en disant : Montre-moi donc ce que Mahomet a apporté de nouveau, et tu y trouveras seulement des choses mauvaises et inhumaines, comme son mandat de diffuser par l'épée la foi qu'il prêchait ."

la haine aveugle, c'est bien connu et certains savent l'exploiter avec art. vous vous suicidez, bande de pantins !

La haine est chez ceux qui la prônent et l'appliquent ouvertement et sans état d'âme. L'islam coranique et mahométan est haineux.

le christianisme n'est devenu sanglant qu'à partir du moment où il était devenu religion d'état avec l'empereur Constantin et de plus c'est contraire à l'esprit de Jésus qui a préché la non violence. Jamais dans le christianisme, la guerre n'est sainte pas même les croisades qui ont été une réplique au djihad commencé en 622 et qui ont vu la Syrie, la Palestine, l'Irak, l'Afrique du nord se convertir par la force à la religion de Mahomet.

je ne parle pas du christianisme sanglant. qui ne veut rien dire en plus. je parle de la cathophobie et de l'islamophobie, deux phobies entretenues par les mêmes dont vous êtes les pantins. surtout katou qui ne fait pas le lien. tu oeuvres pour ceux qui détruisent ta maison spirituelle puisque tu t'affiches catholique.

le christianisme n'est devenu sanglant qu'à partir du moment où il était devenu religion d'état avec l'empereur Constantin On t'a expliqué au moins trois fois que Constantin n'en a pas fait une religion d’État et que les chrétiens combattaient déjà avant, *** Niet *** TV

*** Niet *** TV On t'a expliqué mille fois que Jésus n'a jamais voulu la guerre pas même contre les Romains qui colonisaient son pays et exploitaient ses richesses. Les premiers Romains qui se sont convertis au christianisme ont été obligé d'abandonner l'Armée. C'est dans le christianisme qu'est reconnu l'objection de conscience pour le service militaire. Aucun pays d'islam ne reconnait l'objection de conscience, en Turquie, il y a eu un cas demandant le statut d'objecteur de conscience et il a été tellement humilié et traité de tous les noms qu'il a mis fin à ses jours.

Ce site est optimisé pour être consulté depuis un navigateur moderne dans lequel JavaScript est activé.

le Vatican et l'islam

odoacre

Pour en revenir au sujet, Jean Damascène est un docteur de l'église. Il classifie l'islam dans les hérésies. L'église catholique adhère-t-elle à cela ? Depuis quand ? Jusqu'à quand ?

georges

Les musulmans ne combattent pas le Christ mais l'idée qu'il était Dieu, ils le respectent par ailleurs, s'intéressent à sa prédication et ont une certaine dévotion mariale

L'ignare dans toute sa splendeur.

Le Jésus de l'islam n'a absolument rien à voir avec le Jésus des évangiles.

D'abord, même dans le Saint Coran, livre sacré des Musulmans, il y a des versets où Jésus

se fait gronder par Allah "Comment c'est toi qui a dit aux gens de t'adorer ainsi que Marie"

et Jésus de dire "ce sont des mensonges, je n'ai jamais prétendu être Allah".

Jésus ne s'est jamais marié or en islam, le mariage est la moitié de religion

donc le soupçon d'impuissance ou de pédérastie pèse encore sur lui.

J'ai entendu, moi même, un Grand Savant de l'islam égyptien, répondre pour la nieme fois

pourquoi Jésus ne s'est pas marié à 33 ans:

-S'il ne s'est pas marié, c'est que probablement, il était impuissant".

Où est le respect ?

Jamais Jésus n'est évoqué dans les prônes du vendredi à la mosquée.

Jamais on ne parle de son pacifisme.

Une fois l'express a mis en parallèle la vie des deux hommes.

Il a été censuré dans tous les trois pays d'Afrique du Nord.

Les gouvernants savent que s'il y avait un duel entre les deux fondateurs de religion

Jésus l'emporterait largement.

Mahomet n'aurait que le suffrage des brutes épaisses, décrébrées.

kaizer

Le credo chrétien prévoit l'utilisation des 4 évangiles "canoniques", ainsi que le fait que Jésus soit Dieu fait Homme.

Donc toutes les hérésies christologiques qui nient que Jésus soit Dieu, homme, ou un peu de tout ça à la fois, ne sont pas chrétiennes ?

Je me place dans un cadre historique. Le christianisme n'est qu'un messianisme parmi d'autres... Les nazaréens ne se définissent pas comme "chrétiens", ils judaïsaient ... par contre les nestorianisme provient clairement du christianisme en tant que tel. Il y a une nuance de taille entre les 2 approches.

kaizer

Les musulmans ne combattent pas le Christ mais l'idée qu'il était Dieu, ils le respectent par ailleurs, s'intéressent à sa prédication et ont une certaine dévotion mariale

L'ignare dans toute sa splendeur.

L’hôpital qui se moque de la charité ...

Le Jésus de l'islam n'a absolument rien à voir avec le Jésus des évangiles.

D'abord, même dans le Saint Coran, livre sacré des Musulmans, il y a des versets où Jésus

se fait gronder par Allah "Comment c'est toi qui a dit aux gens de t'adorer ainsi que Marie"

et Jésus de dire "ce sont des mensonges, je n'ai jamais prétendu être Allah".

Et alors ? Il y a aussi un verset qui affirme que Jésus détient le Saint Esprit et qu'il est une bénédiction pour le monde...

Où est le respect ?

C'est vrai que lorsqu'on fait suivre son nom par : "sur lui la paix", ce n'est pas franchement du respect.

pharod

Où est le respect ?

Jamais Jésus n'est évoqué dans les prônes du vendredi à la mosquée.

Jamais on ne parle de son pacifisme.

C'est juste le Messie qui reviendra avec Mahomet à la fin des temps, gogol.

Il a ressuscité des morts, c'est le prophète du cœur (et sa doctrine pacifiste/babacoule n'est pas atténuée, c'est même cet enseignement qui le caractérise, le sermon sur la montagne), mais t'as raison, c'est dégueulasse, les Juifs aux moins ils respectent...

pharod

Islam : Jésus est un grand prophète, un homme bon, le Messie, le fils d'une vierge, il présidera presque le Jugement Dernier. Dieu l'aimait tellement qu'il lui a fait échapper au supplice de la Croix que les hommes lui préparaient par un miracle.

Judaïsme : Jésus était un rabbin dévoyé et révolutionnaire, un imposteur qui a mérité sa mort ignominieuse, sa mère était une souillon engrossée par un légionnaire romain, on le représente volontiers en singe ou autre figure aimable.

Katou, Georges : "ouin ouin l'islam il respecte pas le Christ."

pharod

Myriam et Isa :

Isa lors de la célèbre scène de la Montagne :

Je ne dis pas que les musulmans ne sont pas éloignés des positions chrétiennes sur la nature de Jésus, ni qu'ils ne méritent pas le nom d'hérétiques, fils du démon, etc. mais bordel, faire mine de croire que c'est la seule religion "antichrist" au sens propre du terme, et la plus violente en ce domaine, ce n'est même plus de la mauvaise foi.

georges

Les prophètes bibliques ont été islamisés, mahométisés.

L'islam, dernière religion "révélée" devient la première des religions

puisque Adam est un prophète musulman.

Jésus de l'islam est Aïssa et non Yassou comme disent les Arabes chrétiens.

Les explications de l'admirable Anne-Marie Delcambre en arabe et en français à ce sujet.

Asnbe8JJ75E

odoacre

Myriam et Isa :

Isa lors de la célèbre scène de la Montagne :

Je ne dis pas que les musulmans ne sont pas éloignés des positions chrétiennes sur la nature de Jésus, ni qu'ils ne méritent pas le nom d'hérétiques, fils du démon, etc. mais bordel, faire mine de croire que c'est la seule religion "antichrist" au sens propre du terme, et la plus violente en ce domaine, ce n'est même plus de la mauvaise foi.

Pharod a bien raison. Mais bien sûr on peut discuter. Si le Christ est respecté en tant que prophète, il est bien précisé par exemple en sourate neuf, qu'il faut exterminer les associtiateurs.

Pharod d'où viennent ces images ? De quand datent-t-elles ?

katou

Katou, Georges : "ouin ouin l'islam il respecte pas le Christ."

L'islam respecte isa fils de Marie soeur de Moïse, le messie coranique qui n'est ni Fils de Dieu, ni Rédempteur, ni deuxième Personne de Dieu Trinité ... donc l'islam ne respecte pas Jésus Christ Rédempteur et Dieu, le Messie annoncé par les prophètes. L'islam nie complètement le Seigneur. Où est le respect du Christ dans cette négation ?

katou

Je ne dis pas que les musulmans ne sont pas éloignés des positions chrétiennes sur la nature de Jésus

L'islam ne s'est pas éloigné, il la nie, ce n'est pas la même chose.

mais bordel, faire mine de croire que c'est la seule religion "antichrist" au sens propre du terme, et la plus violente en ce domaine, ce n'est même plus de la mauvaise foi.

Le coran nie le Fils de Dieu ...

1 Jean

Celui-là est l'antichrist, qui nie le Père et le Fils.

23 Quiconque nie le Fils, n'a pas non plus le Père ;

celui qui confesse le Fils, a aussi le Père.

katou

Jésus de l'islam est Aïssa et non Yassou comme disent les Arabes chrétiens.

Oui. Jésus Christ n'a rien à voir avec isa ... isa qui n'a d'ailleurs pas été crucifié.

georges

Chrétiens, ne pas regarder

katou

En tant que chrétien on n'a pas à adhérer à la croyance mahométane. Nous ne sommes pas "gens du livre", nous n'avons aucun lien avec l'idéologie mahométane.

georges

Il y a beaucoup de chrétiens qui par amour pour Jésus embrassent l'islam.

Le christianisme est masochiste et donc s'accorde merveilleusement buien

avec le sadisme de l'islam.

odoacre

En tant que chrétien on n'a pas à adhérer à la croyance mahométane. Nous ne sommes pas "gens du livre", nous n'avons aucun lien avec l'idéologie mahométane.

c'est tout à fait vrai. Le chrétien se doit de rejeter en bloc quelque vérité que ce soit dans le Coran. Ce que fait Jean Damascène, Al Kindy et les autres quelques temps après la naissance de l'islam.

katou

Il y a de plus en plus de musulmans qui embrassent le christianisme ne reconnaissant pas dans le coran, Jésus Christ décrit dans les Evangiles. Si des chrétiens se détournent du Christ, des non chrétiens le reconnaissent.

pharod

Pharod d'où viennent ces images ?

Je n'en sais rien, mais il me semble que la représentation humaine avec les flammes autour des prophètes c'est plutôt perse.

pharod

L'islam respecte isa fils de Marie soeur de Moïse, le messie coranique qui n'est ni Fils de Dieu, ni Rédempteur, ni deuxième Personne de Dieu Trinité ... donc l'islam ne respecte pas Jésus Christ Rédempteur et Dieu, le Messie annoncé par les prophètes. L'islam nie complètement le Seigneur. Où est le respect du Christ dans cette négation ?

On les connaît tes paralogismes déments.

pharod

Le coran nie le Fils de Dieu ...

ET LES JUIFS ?

Complètement Tsss/Solfé

« Page précédente Page suivante »