Décidément vous ne comprenez pas grand chose.
La sortie de l'euro peut s'apparenter à une séparation.
Cela peut se faire à l'amiable ou dans la douleur.
vous y comprenez ce que vous imaginez, je maintiens que les deux demandes sont contradictoires
si on sort, on n'a pas à négocier.
Bonjour,
C'est assez facile de dire qu'il faut sortir de l'euro sans même y voir clair sur une alternative sérieuse. Par exemple Monsieur Dupond a une assurance vie de 100 000 euros constitués d'obligations dont 50% sont répartis dans des obligations Européennes. On sort de l'euro et si la banque ne veut pas le ruiner elle est obligée d'acheter en Francs toute la répartition Européenne. Dans ce cas Monsieur Dupond ne sera jamais garanti de son épargne investissement, la solution la plus simple étant de le spolier une fois le rempart de l'euro mis à terre. En plus tous les investisseurs étrangers se retrouvent soit spoliés soit détenteurs d'une créance accrue du fait de la dévalorisation de la monnaie. Celui qui détenait 100 parts à 10 euros va se retrouver avec 100 parts à 60 francs si la spoliation ne joue pas.
Non,
1/ Il se retrouvera toujours avec 100 part à 10 FF au lieu de 10 €;
2/ S'il y a des UC en euro ou en $, elle resterons en euro ou en $, sauf si l'interessé demande leur conversion en FF au cours du jours;
Le cout de l'énergie va être un obstacle de taille si en plus on prévoit une fiscalité pénalisante avant même que les individus n'aient la possibilité de s'équiper. Le pays étant importateur sa balance commerciale va se creuser en déficits. Le chômage n'étant pas résolu puisque venant non pas de l'euro mais du cout du travail qui ne diminue pas en changeant de monnaie. Le cout de l'immobilier pouvant encore grimper avec des perspectives de monnaie faible.
Faux pb, car si l'économie française est assainie avant la sortie de l'euro, il n'y aura pas de dévaluation par rapport au $ (devise de référence pour le gaz et le pétrole)
Je veux bien être ouvert d'esprit mais j'aimerais bien que l'on m'explique sérieusement à quoi pourrait ressembler l'après-euro ? A ma connaissance même les Grecs qui sont dans les pires difficultés ne souhaitent pas sortir de l'euro. Les seuls qui pourraient objectivement le souhaiter seraient les Allemands.
Voir Mme Soleil, en revanche le fait d'avoir l'euro entraîne des dysfonctionnement perceptibles. Depuis l'euro, même la balance commerciale hors énergie est déficitaire, ce qu in'était pas el cas avant.
Cordialement.
Best regards