Il faut bien lire ce qu'on lui reproche, en fait :
«Dès le premier cours, elle nous a dit qu'elle avait regardé la liste d'appel, et elle a déclaré en avoir “eu le vertige”», raconte A. Le jour de la fête musulmane de l'Aïd, l'enseignante se serait réjouie de l'absence de certains élèves: «Elle a lancé: “Vive les fêtes religieuses, on est enfin tranquilles!”» témoigne G. auprès de La République du Centre.
L'enseignante manque par ailleurs à ses obligations de formation: elle a refusé de faire cours à cette classe de technologie pendant une semaine. «Elle nous dit qu'elle a fait des études de haut niveau et qu'elle avait trop de diplômes pour faire cours à “ces gens-là”», renchérit E. Elle aurait aussi répété qu'«un élève avec une faible moyenne est une perte de temps.»
Lors d'une réunion avec les professeurs en septembre dernier, des parents s'alarment: «Nous lui avons demandé pourquoi elle avait refusé de faire cours à nos enfants, mais elle est partie en disant qu'elle n'avait pas à s'excuser, ni à s'expliquer», raconte la mère d'une élève. La faible notation sur le bulletin trimestriel, 6,86 de moyenne de classe, interroge aussi le proviseur qui convoque l'enseignante lui demandant d'assouplir sa notation.
C'est bien une classe de sous-doués, perturbée par des élèves musulmans, et dont les parents exigent des excuses pour son manque de respect envers la racaille, traduit comme raciste... on croit rêver !!!
Total soutien renouvelé à cette malheureuse.