Ce monsieur s'occupe d'un programme satirique et est plus un humoriste qu'un "sioniste", comme tu dis. Il s'agit à l'évidence d'une blague pas très drôle ironisant sur l'intervenant précédent qui, disant que Dieudo ne se rend pas vraiment compte de ce qu'il fait, a l'air de vouloir lui trouver des excuses.
J'ai vu sur le Net la réponse de Dieudo : complètement premier degré et ras des pâquerettes : il répond par des insultes.
Dans un cas comme dans l'autre, on n'a guère envie de leur reprocher à l'un comme l'autre leur racisme, mais uniquement leur bêtise et que leur humour n'est pas drôle du tout.
http://fr.wikipedia.org/wiki/N%C3%A8gre
Nègre est un substantif masculin (négresse au féminin) et un adjectif, désignant les Noirs substantif a pris avec le temps une connotation péjorative à la différence de l'adjectif qui reste couramment utilisé (art nègre) et bien entendu du terme négritude (...) . Le mot « nègre » dans son acceptation contemporaine est largement controversé dans les pays où il est utilisé pour désigner spécifiquement les individus à la peau noire. Dans les pays ayant été impliqués dans le commerce triangulaire, « nègre » conserve un sens péjoratif fort, qui renvoie à une image biaisée de la population africaine.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Pascal_Bernheim#Pol.C3.A9mique
Le 27 novembre 2008, dans une émission1 qui a comme thème Peut-on rire de tout ?, suite aux propos d'un intervenant qui dit que Dieudonné « n'est pas assez futé », Pascal Bernheim répond « Ben c'est un nègre », créant une polémique sur Internet. Suite à celle-ci, il s’est filmé par webcam et a mis en ligne une vidéo dans laquelle il présente ses excuses. L'humoriste Dieudonné porta plainte contre Pascal Bernheim pour injure, diffamation et discrimination raciale2. Cette plainte a été classée par le procureur général genevois Daniel Zappelli3
(évidemment)
Non seulement Pascal Bernheim a a employé le mot "Nègre", mais il est clair que lorsqu'il dit: "bah, c'est un nègre", il veut dire ""bah, c'est un con"
En tant que descendant d'anciens esclavagistes, rien d'étonnant de la part de ce yupin de Pascal Bernheim