Pasacale, arrête toi même tes conneries, les chiffres arabes ont été volés aux indiens que l'islam a colonisé en en tuant 80
millions sans jamais exprimer la moindre repentance.
La repentance n'est bonne que pour les chrétiens. La violence et la colonisation sont parfaitement licites quand elles sont islamiques.
…”Nos ancêtres les Arabes.
Ce dont les musulmans sont le plus fiers, plus que de leurs grands auteurs, c’est de leurs conquêtes et de leur impérialisme. “Ouvrez n’importe quel livre récent d’introduction à l’islam et vous verrez qu’il commence par chanter les louanges d’un peuple qui a envahi la moitié du monde civilisé dans un espace de temps incroyablement court, d’un peuple qui a fondé un empire qui s’étendait de l’Indus à l’Atlantique.
Ce livre racontera en termes chaleureux les temps glorieux où les musulmans régnaient sur une vaste humanité formée de nations et de cultures différentes. (…) Alors qu’on culpabilise tous les Européens avec le colonialisme et l’impérialisme occidentaux (ces deux termes sont désormais considérés comme péjoratifs) et qu’on leur fait porter la responsabilité de tous les maux de la création, l’impérialisme arabe est au contraire présenté comme un objet de fierté pour les musulmans, quelque chose que l’on doit louer et admirer.”
Pas demain la veille qu’on entendra de la part des dirigeants musulmans une quelconque repentance concernant telles ou telles exactions, sans même parler du génocide arménien. Ce qu’il faut comprendre, c’est que toute l’histoire arabo-musulmane fut une conquête par les arabes (d’Arabie Saoudite) des territoires maghrébins, africains et indiens.
Une conquête qui a fini par faire croire aux conquis qu’ils étaient les descendants des conquérants ! Ainsi en l’Algérie où l’enseignement de la langue française fut abandonnée après l’indépendance, sous prétexte qu’elle était la langue imposée par les colons français, au profit de l’arabe… alors que l’arabe fut lui-même une langue imposée - la langue maternelle des algériens étant le berbère. avait même convaincu ce peuple qu’ils étaient éthniquement des Arabes, ce qui n’était pas le cas et, encore plus fort, ils les avait convaincus d’embrasser une religion qui était totalement étrangère à leurs propres traditions religieuses. N’y a-t-il meilleur symbole de soumission à l’impérialisme musulman que l’image du peuple algérien qui se prosterne cinq fois par jour vers son conquérant situé en Arabie ?” Et Warraq de citer l’écrivain algérien Kateb Yacine (1929-1989) qui fit scandale en déclarant son aversion pour l’islam et que “l’Algérie arabo-islamiste est une Algérie contre-nature, une Algérie qui est étrangère à elle-même. C’est une Algérie qui est imposée par les armes, car l’islam ne se développe pas avec des bonbons et des roses, il se développe avec des larmes et du sang. Il croît dans l’oppression, la violence, le mépris, par la haine et les pires humiliations que l’on puisse faire à l’homme. On peut voir le résultat !” et encore “L’Algérie française a duré pendant cent-quatre ans. L’Algérie arabo-islamique dure depuis treize siècles ! La pire forme d’aliénation n’est pas de penser que nous sommes Français, mais de croire que nous sommes des Arabes. Il n’y a pas de peuple arabe et il n’y a pas de nation arabe. C’est une langue sacrée, celle du Coran, que les dirigeants utilisent pour empêcher que les gens ne découvrent leur véritable identité.” (interview au journal Awal en 1987 reprise par Le monde du 20 mai 1994).
Après quoi, il fit le voeu pieux qu’un jour l’Algérie sera appelée par son vraie nom, Tamezgha. En vérité, l’Islam ne s’est imposé que par la conquête militaire et a imposé partout où il est passé l’apartheid, l’esclavage (pratiqué encore largement par bien des pays musulmans et d’ailleurs recommandé par le Coran : “Dieu vous propose pour exemple un homme esclave qui ne dispose de rien et un autre homme à qui nous avons accordé une subsistance ample, et qui en distribue une partie en aumônes publiquement et secrètement ; ces deux hommes sont-ils égaux ? Non, grâce à Dieu ; mais la plupart d’entre eux n’entendent rien.”
XVI-78), et n’a récolté que la faillite économique, culturelle et sociale. C’est ainsi que tous les pays musulmans sont des dictatures ou des semi-dictatures. Enfin, il ne faut jamais oublier que notre propre colonisation ne fut en grande partie qu’une réaction à celle que les pays arabes imposèrent pendant des siècles à une partie de l’Europe, et que comme le montre Bernard Lewis, c’est le combat contre l’envahisseur qui poussa les Européens au-delà de leurs frontières. On a trop oublié que des premières conquêtes mauresques en Espagne et en France (épisode Charles Martel) jusqu’au second siège de Vienne par les Turcs en 1683, l’Europe n’a cessé de se défendre contre la menace de l’islam.
On n’en finirait pas de citer Ibn Warraq. Sur l’affaire Rushdie qui commence le 14 février 1989 et qui est son 11 septembre moral, sur les sources de l’islam, sa nature totalitaire, son incompatibilité structurelle avec la démocratie et les droits de l’homme, sur le fait que l’intégrisme soit son accomplissement et non un dérapage (comme le goulag n’est pas une trahison du communisme mais son résultat nécessaire), sur les femmes, sur ses innombrables tabous, sur sa volonté régressive de progrès technique, sur son but jamais caché d’islamiser coûte que coûte le monde à coups de cimeterre, sur son prophète enfin qui avait si bien commencé à
la Mecque à l’aune des spiritualités juives et chrétiennes et dégénéré aussi rapidement à partir de Médine (passant en effet de la sagesse au carnage, de la miséricorde à la domination), Pourquoi je ne suis pas musulman regorge d’informations vérifiables, d’analyses qui font froid dans le dos, de jugements toujours discutables mais que l’auteur revendique comme tels. “Ce livre est d’abord et avant tout la revendication de mon droit de critiquer tout et chaque chose dans l’islam, et même de blasphémer, de faire des erreurs et de me moquer.”
Source :
http://pierrecormary.blogspirit.com/arc ... arraq.html