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Les phrases cultes de Jacques Chirac en 10 vidéos
A l'occasion du 80e anniversaire de l'ex-président, retour sur les déclarations marquantes de sa vie politique... mais aussi les gaffes.
Santé, famille ... les 80 ans de Chirac en moins de 3 minutes VIDÉO
En 1981, alors qu’il s'apprête à intervenir à la télévision, Jacques Chirac s'impatiente. "Qu'est-ce qui arrive à la 2, il faut faire chauffer l'appareil ?", ironise-t-il en nettoyant ses lunettes. Quand il se rend compte qu'il est à l'antenne, l'homme politique retrouve son sérieux. Cette séquence n'est pas sans rappeler une plus ancienne où, surpris par le direct, il remonte à la hâte ses chaussettes et tente de faire bonne figure avec son épouse.
"Un lapin"
Jacques Chirac est interrogé en 1982 sur l'animal en peluche de son enfance. Le maire de Paris répond, attendri, qu'il s'agissait ... d'un lapin.
"Le bruit et l'odeur"
Jacques Chirac provoque la polémique en 1991 en affirmant que le "travailleur français devient fou" en voyant en face de chez lui une famille d'immigrés gagner plus que lui. "Et ce n'est pas raciste de dire cela", estime-t-il alors. Le FN jubile.
"C’est Jacques Chirac qui vous parle"
En 1994, le journaliste Etienne Leenhardt demande à Jacques Chirac de jouer franc jeu : "Qui nous parle ? Le maire de Paris, le président du RPR ou le prochain présidentiable ?". Lequel lui répond : "Je sais que vous êtes un jeune journaliste mais je croyais quand même que cette information était parvenue jusqu'à vous".
"J'aime les pommes"
Jacques Chirac présente en 1995 son livre de campagne "La France pour tous". La couverture est illustrée par un pommier qui intrigue le journaliste Alain Duhamel. "Je suis un mangeur de pommes et j'ai trouvé que c'était joli", explique le candidat.
"Me to go back to my plane"
En voyage à Jérusalem en 1996, le president Chirac s'énerve du zèle des gardes du corps et militaires israéliens. Il s’emporte dans un anglais très personnel...
"La coupe de France"
Quelques jours après avoir remporté la Coupe du monde de football, l’équipe de France est reçue à l'Elysée à l’occasion de la Garden party du 14-Juillet. Jacques Chirac est fier de présenter le trophée. Mais il se trompe de coupe…
"Une histoire abracadabrantesque"
A l'occasion d'une autre fête nationale, le président qualifie d'"abracadabrantesque" l'histoire révélée autour du financement occulte du RPR.
"Pschitt"
Un an plus tard, même lieu, Jacques Chirac est invité à réagir à la polémique autour du financement de voyages privés à l'époque où il était maire de Paris. Pour lui, ces sommes, "ce n'est pas qu'elles se dégonflent, c'est qu'elles font pschitt".
Le délit de sale gueule
En 2002, Jacques Chirac se représente devant les électeurs pour un second mandat. Face à lui, Lionel Jospin, candidat et Premier ministre, estime que le président est affaibli. En maître du bon mot, il réplique. (Voir vidéo)
