Ah bon? L'Etat allemand exige du travailleur allemand qu'il file son pognon aux voisins UEiens pour que ceux-ci fassent semblant de pouvoir s'offrir le fruit de ses efforts et cela devrait le remplir de joie?
Ça ne manque pas de cynisme!
1. Le bénévolat peut certes apporter une satisfaction lorsqu'il est le fruits de mobiles idéaux mais certainement pas lorsqu'il est le résultat de la contrainte. 2. Il n'accroît en rien la prospérité économique! Affirmer le contraire revient à prétendre que la condition d'esclave est un facteur d'enrichissement de l'esclave.
Aujourd'hui et depuis la création de l'UE, l'esclave n'est personne d'autre que le travailleur allemand qui travaille à la gloire de l'Etat allemand et à sa puissance UEienne. C'est la rencontre entre la culture d'entreprise allemande et l'esprit d'assistanat de ses voisins.
Cela n'a rien de temporaire, c'est dans les gènes des peuples et de la construction UEienne! Pour changer cela il faudrait soit changer les mentalités des peuples (rééduquer l'homme comme d'autres systèmes ont tenté de le faire au siècle passé) ou changer le modèle UEien de sorte à ce que les Peuples UEiens se prennent eux-mêmes en charge et que l'aristocratie allemande cesse d'aspirer à la domination! Ce n'est pas près de changer dans la paix et la douceur!
Quant à l'esclave, est-ce que l'esclave doit se considérer bien heureux de de bénéficier d'une condition d'esclave? Ou est-ce que peut-être il ne préfèrerait pas (légitimement!) un autre modèle socio-économique dans lequel il cesserait de faire du bénévolat pour que son maître puisse continuer à dominer ses voisins?