Pour sauvegarder l’environnement, préserver les ressources, freiner le réchauffement climatique, et protéger le cadre de vie , des impératifs écologiques se justifient ; les quantités de matières premières utilisées, celles de déchets générés, celles d’énergie consommées, celles de gaz à effet de serre relâchées, et celles de polluants diffusées doivent diminuer : ces objectifs nécessitent les moyens de mise en œuvre à la hauteur de leur importance. Individuellement , tout à chacun peut choisir certaines options concernant sa façon de vivre. Il s’avère possible d’acquérir un modèle de véhicule assez petit et relativement peu consommateur, de s’efforcer d’économiser l’électricité en ne laissant pas en veille ses appareils électroniques, de régler bas son chauffage, et cætera. Cela peut paraître la solution. Chacun possède un revenu et consomme ou bien épargne. Les options de vie citées ci-dessus sont source d’épargne. Notons déjà que si une personne s’est fixée un pourcentage donné de son revenu qu’elle entend épargner, qu’elle respecte ou non ces options de vie, son impact écologique restera de toute manière quasi équivalent. Ensuite, si une personne respecte ces options de vie et en proportion épargne davantage mais fait tout de même usage ultérieurement de l’argent mis de coté, elle n’aura que différé son impact écologique. Enfin , si une personne respecte ces options de vie et ainsi renonce définitivement à une partie de son revenu, elle diminue effectivement son impact écologique. Une consommation globale moindre est en fait la manière individuelle efficace de vivre favorable aux objectifs écologiques. Rationnellement, plutôt que de renoncer à une partie de ses revenus, il faudrait une baisse de revenu ; équitablement il faudrait une baisse du revenu moyen qui ménage les minima sociaux. Une illustration de la fausse bonne solution basée sur l’initiative individuelle est l’exemple de la famille qui multiplie les petits gestes de limitation des dépenses, économisant un peu partout, puis part en voyage grâce à l’argent ainsi mis de coté : celui-ci est finalement dépensé, souvent pour financer un trajet en voiture ou en avion, et ainsi n’assure pas un bilan écologique positif. Collectivement , la mise en œuvre efficace de moyens favorables aux objectifs écologiques correspond à une consommation moyenne de chacun plus basse. La production doit diminuer en proportion ; l’activité économique ainsi donc aussi. Une décroissance économique est la solution. C’est incontournable. Il est bien entendu important que cette décroissance ne soit pas une récession mais au contraire une évolution maîtrisée et que l’organisation politique et économique soit en conséquence.

La décroissance c'est de prime abord un truc qui contente le porte monnaie Je ne pige pas pourquoi des gens sans moyens ne font pas plus attention à ne pas gâcher eau et énergie

Une décroissance suivit par des millions de personnes coulerait l'économie fragile du monde, des milliers d'entreprises feraient faillites. Avec une utilisation plus raisonnée des ressources, va de paire une refonte du système économique.

La décroissance c'est de prime abord un truc qui contente le porte monnaie Je ne pige pas pourquoi des gens sans moyens ne font pas plus attention à ne pas gâcher eau et énergie Ce que je ne comprends pas, moi, c'est que des gens avec des moyens préfèrent plutôt gaspiller que de partager...

Solution de facilité en quelque sorte

La décroissance c'est de prime abord un truc qui contente le porte monnaie Je ne pige pas pourquoi des gens sans moyens ne font pas plus attention à ne pas gâcher eau et énergie Effectivement, il est de notre devoir d'imposer la décroissance aux pauvres, qui manifestement consomment trop. Les riches pourront continuer de gaspiller sans trop esquinter la planète. De toutes façons, les pauvres sont les plus nombreux et leur bilan carbone autrement lourd. :

Gaspiller a un coût ... les pauvres le sentent plus passer que les riches

c'est pas un problème de surconsommation mais de surpopulation mêlé a une urbanisation néfaste... on ne regulera jamais notre croissance vouée a être exponantielle, a terme c'est la colonisation spatiale d'ici 2-3siècles. d'ICI là ben... va falloir faire le tri , manu militari a mes yeux m'enfin c'est pas politiquement correcte de parler de sélection naturelle ce nos jours.

La décroissance c'est de prime abord un truc qui contente le porte monnaie Je ne pige pas pourquoi des gens sans moyens ne font pas plus attention à ne pas gâcher eau et énergie Effectivement, il est de notre devoir d'imposer la décroissance aux pauvres, qui manifestement consomment trop. Les riches pourront continuer de gaspiller sans trop esquinter la planète. De toutes façons, les pauvres sont les plus nombreux et leur bilan carbone autrement lourd. : Si les pauvres consomment moins la bourse s'effondre et l'économie avec ... fini les riches ! :

La décroissance c'est de prime abord un truc qui contente le porte monnaie Je ne pige pas pourquoi des gens sans moyens ne font pas plus attention à ne pas gâcher eau et énergie Effectivement, il est de notre devoir d'imposer la décroissance aux pauvres, qui manifestement consomment trop. Les riches pourront continuer de gaspiller sans trop esquinter la planète. De toutes façons, les pauvres sont les plus nombreux et leur bilan carbone autrement lourd. : Si les pauvres consomment moins la bourse s'effondre et l'économie avec ... fini les riches ! : Si les pauvres et les riches ne mettent plus rien à la poubelle, la Bourse ne s'effondrera pas et l'économie encore moins, bien au contraire Le gaspillage a un coût élevé, celui de l'enlèvement des déchets et de leurs traitements, incinération ou recyclage ...

Effectivement, il est de notre devoir d'imposer la décroissance aux pauvres, qui manifestement consomment trop. Les riches pourront continuer de gaspiller sans trop esquinter la planète. De toutes façons, les pauvres sont les plus nombreux et leur bilan carbone autrement lourd. : Si les pauvres consomment moins la bourse s'effondre et l'économie avec ... fini les riches ! : Si les pauvres et les riches ne mettent plus rien à la poubelle, la Bourse ne s'effondrera pas et l'économie encore moins, bien au contraire Le gaspillage a un coût élevé, celui de l'enlèvement des déchets et de leurs traitements, incinération ou recyclage ... La poubelle est le reflet d'un monde tourné vers la consommation, les emballages rendent riches, crées des emplois, les poubelles aussi. C'est pour la décroissance que la bourse capoterait, non pour la poubelle !

Ce site est optimisé pour être consulté depuis un navigateur moderne dans lequel JavaScript est activé.

Prendre en compte l'écologie implique la décroissance

Simon

[BBvideo=560,315][/BBvideo]

La vidéo est un peu longue, mais elle résume bien la situation actuelle...

nombrilist

Tout le monde devrait écouter les interventions de Jancovici et d'autres experts des énergies et du climat, et se faire sa propre idée. Jancovici est un spécialiste des énergies. Jancovici est l'un des plus pédagogiques, car c'est aussi un enseignant qui enseigne notamment à l'école des Mines.

Simon

Il ne fait pas l'unanimité chez les écolos : beaucoup d'entre eux lui reprochent d'être pro-nucléaire.

Mais à part ça, oui, il résume bien les enjeux du changement climatique, il est très pédagogique.

nombrilist

Simon Les "écolos" sont des abrutis dangereux qui n'ont jamais compris que nucléaire et écologie n'ont absolument rien à voir et qui font croire aux masses qu'une centrale nucléaire est l'équivalent d'une tête de missile atomique. C'est bien entendu complètement faux et je pense qu'ils le savent. De plus, ces "écolos" continuent de croire en la croissance sans apport énergétique puisqu'avec eux il faut se passer de toutes les énergies.

« Page précédente