Dans ce meilleur scénario de résultat possible, qui va rembourser la dette accumulée et comment ?

Un plan à échelle internationale de lutte contre la crise économique est en œuvre. Il a été plusieurs fois réactualisé et se monte déjà maintenant à plusieurs milliers de milliards de dollars. Son principe consiste entre autre à résorber les dettes générées par le secteur des activités financières.
Les remboursements de créance, les recapitalisations, les achats d’actions, les garanties de dépôts et les divers autres engagements sont financés par l’endettement public. Parallèlement, les états se donnent les meilleurs moyens possibles pour lutter contre la récession et envisagent les différentes options en faveur d’une relance de l’économie.
Supposons que la mise en œuvre de ce plan de prise en charge publique du surendettement financier fonctionne aussi bien que faire se peut : l’érosion boursière est jugulée durablement et l’évolution des marchés boursiers est normalisée ; la récession est limitée puis une relance la retransforme en croissance. Nous en sommes loin ... Mais ! Supposons.
Dans ce meilleur scénario de résultat possible, qui va rembourser la dette accumulée et comment ?