J'y étais, bien sûr et, pour votre gouverne, j'avais même une place de choix dans le dispositif que je connais de A à Z. Tous le process de traitement l'absentéisme m'est connu
Vous allez pouvoir nous expliquer pourquoi ce mécanisme est moins bien que le précédent
Le traitement de l'absentéisme n'a pas attendu la menace de suppression des allocs pour exister.
certes, mais cela a donné un moyen de le traiter de manière plus efficace avec certains.
Votre question est, de facto, complètement à côté de la plaque.
Peut être pas, justement!
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Un directeur et des enseignants de collège de ZEP m'ont expliqué que la peur de perdre des allocations marchaient dans 4 cas sur 5. pas besoin de paperasse, simplement rappeler gentiment que persister dans l'absentéisme pouvait faire perdre les allocs.
Dans quel ZEP exactement?
Des ZEP situées dans Paris 19, le 93 et le Nord.
Tien que le fait que vous puissiez sortir une telle ineptie montre votre méconnaissance totale du sujet. le "gentil rappel", avant celà, il faut que les parents réussissent à être joint, qu'il se déplace, qu'ils soient coopératif, comprennent de quoi il retourne ... ET surtout qu'ils aient possibilité d'exercer une autorité sur leurs gosses. Autant vous dire que dans la majorité des affaires d'absentéisme l'autorité des parents est proche du nul alors le 4/5 c'est grotesque:
Vous caricaturez une réalité qui est beaucoup plus complexe que cela. En général, les parents ne sont pas trop difficiles à joindre et le fait que leurs allocs puissent être remises en cause est un élément efficace pour les faire se déplacer et coopérer. Quand on frappe au portefeuille, çà réveille.
Vous mentez et ne faites pas illusion.
Je vous prierais de ne pas m'insulter sans aucune preuve.
Comment vous le redire:
Non la menace aux allocations familiales ne peut, structurellement, s'effectuer sur un seul entretien c'est le principe de la gradation des moyens et c'était même intégré à je ne sais plus quelle circulaire d'application.
Sauf que dès le départ, vous pouvez annoncer une procédure qui peut aller jusqu'à la suspension des allocs...
Bien sur que celle ci ne vient pas tout de suite (elle vient même très rarement, mais le fait que cette menace existe change la perception des parents.
Vous avez oublié de répondre à la dernière question. Vous qui êtes un professionnel compétent, que proposez vous pour traiter ce problème?
Ok, vous n'affabulez pas: vous délirez. Comme Luc Chatel, d'ailleurs dans l'article de 20 minutes.
De l'information : il y a 32000 convocations d’élèves pour 160 suppression, il conclue que dans 99,5 % celà légitime donc l'existence de ce moyen sauf que, c'est partir du présupposé que seul la menace de suppression permet de faire rentrer dans le rag. Et bien non, loin de là, les raisons de l'absentéisme peuvent être nombreuses,un présumé laxisme parental n'est pas le seul et, quand bien même, des mesures d'AEMO, d'AED, de tutorat, d'aide à domicile ( cas de l'enfant restant au domicile pour s'occuper d'un parent malade etc...).
Oui et alors? Les autres moyens permettent de résoudre un certain nombre de cas, et c'est tant mieux. Ils constituent une carotte et la menace d'être conduit, si on persiste à ne rien faire, à la suppression des allocs constitue le bâton.
Pour votre instruction personnelle, sachez qu'il est heureux que les entretiens liés à l'absentéisme ne tourne pas autour de la menace ce serait le niveau zéro de l'exploration des situations familiales et des raisons mêmes de l'absentéisme.
Bien sur que les entretiens ne tournent pas autour de la seule suppression des allocs, mais cette menace peut constituer un outil supplémentaire et c'est surtout un accélérateur dans pas mal de cas.
heureusement que les professionnels sont plus intelligents et humains que les députés.
Vous vous trompez sur les députés.
Ce que je propose c'est déjà que cesse de tomber des lois toutes plus débiles les unes que les autres, que l'on laisse travailler les professionnels et qu'on évite cette accumulation de lois et de procédures qui ne résolvent rien et ne sont qu'une masturbation de politicards en mal de polémique.
Cela n'a rien d'incompatible! Justement, beaucoup de professionnels ont apprécié cette loi qui leur donnait un point d'appui complémentaire.
Car, bien sûr, faire passer une loi sur la suppression des allocs ça fait bander une partie de l’électorat mais c'est bien la seule utilité car, pratiquement, ça ne sert à rien.
Ce n'est pas ce que les personnes que je connais ont constaté. Ce ne sont pas des sauvages pour autant, mais cela leur donnait une arme utile.
Après votre manœuvre de renvoyer à l'autre l'injonction de faire une proposition est basse manœuvre de rhétorique qui permet de repartir sur une TINA ou de botter en touche en contre-attaquant: je connais les trucs, pas la peine de les essayer avec moi.
Je vous donne simplement l'occasion de vous donner une occasion de faire des propositions et de les défendre.
J'ai été responsable de parents d'élèves et j'ai souvent vu les profs et les directeurs en difficulté face aux problèmes d'absentéisme en étant parfois à bout de solutions face à des récalcitrants.
In fine, au fil de ces différents messages il apparait que vous défendez ce bidule qu'est la suppression des allocs, non pour ses qualités techniques qui sont nulles voir contre-productives, mais pour des raisons de lobbing politiques et que vous méconnaissez entièrement les mécanismes et l'organisation de la lutte contre l'absentéisme... Ce qui ne vous empêche d'ailleurs pas d'en parler.
Non, je défends cette mesure sur la base de mes observations et de mon expérience.
Je constate que vous ne proposez pas grand chose, sauf d'injurier et de médire sur celui qui ne partage pas votre point de vue!
Vous n'avez, vraiment aucune décence. En cela vous resterez fidèle à vous-mêmes, prêt à toutes les bassesses.
Mieux vaut lire cela que d'être aveugle! Vous devriez quand même un peu plus respecter vos interlocuteurs. Je ne sais pas comment cela se passait avec les parents d'élèves, mais votre agressivité est assez inquiétante.