bonjour à défaut de légaliser les drogues douces, la ministre de la santé compte expérimenter des salles de consommation de drogues dures afin d'assurer aux drogués de bonnes conditions d'hygiènes et sous surveillance médicale. ça existe déjà dans des pays comme la suisse et l'Allemagne l'UMP est bien sûr contre et vous pour ou contre ? Un drogué ira-t-il sachant que la drogue reste interdite et qu'il doit amener son produit, ne va-t-il pas craindre de se retrouver ficher ? Je suis assez médusé de voir le nombre de projets hors domaine économique lancés est-ce de la diversion ? est-ce pour se démarquer de l'opposition puisque coté économique les programmes sont assez proches quoiqu'on en dise ? est-ce du zèle des ministres qui cherchent à exister ? http://www.lemonde.fr/sante/article/201 ... 51302.html

C'était un projet de l'ex gouvernement Sarkozy, les socialos suivent les rails (si j'ose dire)

C'était un projet de l'ex gouvernement Sarkozy, les socialos suivent les rails (si j'ose dire) j'aime beaucoup le jeu de mot alors pourquoi l'ump se déclare-t-elle contre ?

Parce-que leur projet a capoté

http://www.liberation.fr/societe/2012/0 ... lle_849914 Depuis 1986, plus de 90 salles, ou centres d’injections supervisées (CIS), ont ouvert dans huit pays, dont la Suisse, l’Espagne, l’Allemagne, les Pays-Bas, l’Australie et le Canada. Les usagers s’y injectent le produit qu’ils apportent dans des conditions hygiéniques satisfaisantes, en présence de personnel médical. «Tu viens avec ton matos, tu fais ton fix. Si tu veux des conseils, tu peux. Les gens te posent des questions, tu réponds mais t’es pas obligé», explique Serge (1), un routard toulousain de 26 ans, qui en a fréquenté en Suisse et en Espagne. Cheveux rouge et orange, grand sourire, Ben abonde : «Se shooter, ce n’est pas bien, mais autant le faire le mieux possible. Dans un endroit propre plutôt qu’au coin d’une rue où tu vas choper un abcès.» A 31 ans, dont sept de shoots, Ben vit dans la rue à Pau. «Les salles, ce n’est pas de l’incitation à la consommation, c’est de l’incitation à mieux faire, dit-il. Ça arrive que la "matière" soit trop bonne ou trop mauvaise. Si quelqu’un est là pour t’aider, c’est mieux.» «Je ne fais presque plus d’abcès» Dans les pays où elles existent, ces salles assurent un progrès incontestable. Selon une étude de l’Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale), datant de 2010, les CIS «apportent des bénéfices aux usagers» - santé améliorée, comportements à risques diminués - et «bénéficient également à la communauté par la réduction de l’usage de drogues en public», puisque le volume des shoots dans la rue diminue. L’Inserm y voyait à l’époque«un investissement potentiellement rentable» et plusieurs villes voulaient les expérimenter. Mais le Premier ministre d’alors, François Fillon, y a mis le holà, Matignon les estimant «ni utiles ni souhaitables». La France a ainsi perdu deux ans. Depuis, François Hollande a promis, pendant sa campagne, d’autoriser des expérimentations. Le député PS de Paris, Jean-Marie Le Guen, a relancé le débat, le 29 août, exprimant l’impatience des acteurs de la réduction des risques, fatigués par une politique sur les drogues qui a surtout consisté, ces dernières années, à privilégier la répression. La ministre des Affaires sociales et de la Santé, Marisol Touraine, a dit fin août que son ministère serait prêt «assez rapidement». Plusieurs villes de droite et de gauche (Paris, Marseille, Bordeaux ou Strasbourg) guettent son feu vert. Il sera nécessaire mais pas suffisant : les expériences étrangères montrent en effet que chaque ville doit négocier l’acceptation de la salle par le quartier et les riverains si elle veut que l’expérience réussisse. Et le travail de concertation ne s’avère pas toujours évident. Sans compter la question cruciale du financement. En attendant de premières ouvertures, espérées au premier trimestre 2013, une expérience discrète et innovante a lieu ces derniers mois dans huit villes de France, avec 200 usagers volontaires. Les participants viennent dans un Caarud (2) s’injecter sous le regard de professionnels. Ces derniers tentent ensuite d’améliorer leurs pratiques «selon un protocole qui pourrait faire penser à l’apprentissage de l’auto-injection diabétique, explique Christian Andreo, de l’association Aides. L’objectif, c’est que la personne se fasse le moins mal possible.»

merci pour ces éclaircissements

je voyais la chose possible et interessante uniquement avec la vente réglementéE du cannabis. J'imagine une vente réglementée et limitée en volume à des adultes de plus de 21 ans, non anomymement ( on laisse sa carte d'identité ) avec possibilité de rencontrer des soignants ( financés par les taxes sur le cannabis). Qui aura envie de venir fumer dans un refectoire collectif, en amenant sa marchandise ?

Comment aider des paumés à vivre mieux leur mal de vivre en toute hygiène du corps alors que leurs têtes sont pourries ... pauvre monde

Pas seulement, des dégénérés de cet accabit il y en a partout dans le monde, quand je pense que des pauvres mecs à l'autre bout de la planète s’étripent, s'égorgent, s’entretuent, pour subvenir aux besoins de cette engeance

Si il avait déja des drogues moins néfaste, moi par exemple je me shoot avec un mélange gazeux (oxygène 21%, azote 79%).

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Projet d'expérimentation des salles de drogue

ombrageux

Pas inventé, je ne saurais pas dire quand mais j'avais vaguement entendu un projet à ce sujet sous la présidence de Nicols Sarkozy.

spitfire

Pas inventé, je ne saurais pas dire quand mais j'avais vaguement entendu un projet à ce sujet sous la présidence de Nicols Sarkozy.

Etes vous sur que ce n'est pas un journaliste qui l'a proposé, ou quelqu'un de l'opposition, ou cela ne vient il pas d'un bout de phrase non engageante d'un ministre sortie de son contexte?

Y a t'il eu un projet cité dans un programme électoral ou dans une déclaration officielle de politique ou dans un discours de Sarkozy ou de Fillon, ou une interview d'un ministre compétent dans ce domaine ou encore un projet de loi en Conseil des ministres?

Quand on évoque un tel sujet et que l'on met en cause un gouvernement, on essaie d'être un peu plus précis. Pour l'instant, ce n'est pas même une rumeur, tout juste une vague réminiscence ni datée ni circonstanciée.

lu-ci-de

Pas inventé, je ne saurais pas dire quand mais j'avais vaguement entendu un projet à ce sujet sous la présidence de Nicols Sarkozy.

Etes vous sur que ce n'est pas un journaliste qui l'a proposé, ou quelqu'un de l'opposition, ou cela ne vient il pas d'un bout de phrase non engageante d'un ministre sortie de son contexte?

Quand on évoque un tel sujet, on essaie d'être un peu plus précis. Pour l'instant, ce n'est pas même une rumeur, tout juste une vague réminiscence ni datée ni circonstanciée.

Toutes ces larves droguées.. dans le Larzac.. sous la tente..

30 Km à pieds tous les matins..

Je t'en foutrais de la "drogue", moi..

Je t'en foutrais du hachisch ... moi !

Mon pied au cul, oui !

spitfire

Pas inventé, je ne saurais pas dire quand mais j'avais vaguement entendu un projet à ce sujet sous la présidence de Nicols Sarkozy.

Etes vous sur que ce n'est pas un journaliste qui l'a proposé, ou quelqu'un de l'opposition, ou cela ne vient il pas d'un bout de phrase non engageante d'un ministre sortie de son contexte?

Donc quand le gouvernement Sarkozy a t'il projeté d'avoir des salles de shoot?

jean-françois177

Roselyne Bachelot

les salles de shoot sont "le premier palier pour arrêter la consommation de drogue"

Des salles de shoot en France avant la fin de l'année ? C'est en tout cas l'expérimentation qu'espère lancer d'ici la fin de l'année l'actuelle ministre de la santé Marisol Touraine, afin de permettre une consommation encadrée de la drogue. Alors que la droite est vent debout contre cette initiative, la voix de Roselyne Bachelot, ancienne ministre de la santé, résonne de façon originale à l'UMP. Invitée de RTL Midi, l'ancienne ministre de la Santé, s'est montrée favorable à ces salles qu'elle préfère appeler " des "salles d'injection surveillées". Selon elle, ces endroits sont "la meilleure façon de passer à une politique de sevrage" et constituent donc un "premier palier pour arrêter la consommation de drogue".

http://www.rtl.fr/actualites/sante/arti ... 7753742552

danielfr40

Roselyne Bachelot

les salles de shoot sont "le premier palier pour arrêter la consommation de drogue"

http://www.rtl.fr/actualites/sante/arti ... 7753742552

premier palier j'en doute

Roselyne depuis la fin de Sarkozy prend le contrepied systématique des positions officielles de l'ump, par conviction, par rancoeur ou par opportunisme, je ne sais pas

spitfire

Roselyne Bachelot

les salles de shoot sont "le premier palier pour arrêter la consommation de drogue"

premier palier j'en doute

Roselyne depuis la fin de Sarkozy prend le contrepied systématique des positions officielles de l'ump, par conviction, par rancoeur ou par opportunisme, je ne sais pas

La position de M. Juppé sur le sujet a aussi été moins dure que les autres membres de l'UMP.

Mais, ce ne sont que des prises de position individuelles qui n'engagent même pas ceux qui les prononcent.

danielfr40

oui, Juppé joue un rôle de "sage", un peu en retrait, d'arbitre, d'éventuel recours dans la guerre Fillon Copé

il avait déjà joué ça lors de sa retraite au canada

encore, sincérité ou opportunisme, je ne sais pas

libreatome

légaliser le cannabis, ?? mais quand on voit le résultat,des comportements ,dans la vie ou sur la route,il y a de quoi se demander si c,est bien raisonnable??

mais bon il y a déjà tellement de choses interdites ,la colle a vélo ,he de thuya,le trichlo,alcool a 90,l,héter, a chaque fois qu,il y a un trou du cul qui se choute avec un produit ,il devient interditde vente,ceux sont des réactions débiles qui ne servent a rien,pourquoi ne pas interdir les (( machins ces trucs qui pût et empestent les lieux publiques , et les rues ,c es saletés chimiques qu,ils osent appeller parfums ou eau de toilette. :

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