ridicule. presqu'aucun fournisseur de contenus ne peut élaborer de modèle viable dans un environnement ou ses contenus sont accessibles gratuitement.
les modèles par abonnement ont trouvé leurs limites dans tous les médias ou presque, et dans le domaine musical ils ne sont possible que s'ils rémunèrent les ayant-droits.
Il faudrait preciser de qui vous parlez par fournisseur de contenu. Car le premier fournisseur de contenu, ce sont les utilisateurs eux memes.
Deezer a un business model negocie avec les majors, par exemple.
Les journaux en ligne ont une partie accessible uniquement aux abonnes.
où est la rémunération des ayant-droits, lorsque tous les contenus sont accessibles gratuitement en ligne? quelques recettes publicitaires? ne vous moquez pas du monde.
Le concept d'ayant-droits est en train de devenir obsolete dans la societe de l'information, a mon sens. Les artistes vont devoir reapprendre a vivre de leurs concerts. Comme avant que les supports audios ne soient inventes en quelque sorte.
en effet, c'est pour cela que je vous ai expliqué que cela dépasse largement le seul cas de google, qui ne fait que participer, comme d'autres (notamment les fournisseurs d'accès) à ce rapport de force inégal entre fournisseurs de contenus (obligés d’être sur internet sans avoir de model-business dans un environnement de gratuité), et fournisseurs de tuyaux ou de référencement qui prospèrent précisément sur cette gratuité des contenus.
Ce n'est pas a l'etat de leur construire un business model, c'est a eux de s'en trouver un nouveau : l'information est devenue gratuite sur internet. Si ils veulent motiver les lecteurs a payer pour de l'information de qualite, ils n'ont qu'a proposer autre chose que des copier colles de l'AFP. Si ils n'y arrivent pas, qu'ils disparaissent, car cela signifie qu'ils ne sont plus adaptes au monde actuel.
la justice c'est l'application de la réglementation, cher ami 8) vous soutenez la réglementation maintenant?
notez que dans le cas d'internet, et particulièrement dans le cas de google, la réglementation est obsolète, car le cas de figure ne s'est jamais posé. ceci appelle donc une nouvelle réglementation.
A mon sens, ce cas pourrait facilement etre transpose dans la legislation actuelle avec le kiosque physique, qui vivrait de la publicite sur ses murs, et presenterait des journaux sur sa devanture. Les dits-journaux, ne gagnant plus suffisamment d'argent, malgre le milliard de subventions diverses et varriees a la presse chaque annee, essayent de forcer la main au gouvernement afin qu'il taxe le kiosquier a leur profit. Ce dernier dit alors qu'il prefere ne plus les presenter afin de ne pas avoir a payer cette taxe. Viole-il les droits de quiconque ? Je ne pense pas.
il s'agit au contraire de mettre en place un nouveau business-model qui soit gagnant-gagnant, où l'ensemble de l'éco-systeme est rémunéré.
C'est deja le cas, vu qu'ils touchent tous ces revenus publicitaires. Mon dieu, vite, mettons en place un business model gagnant-gagnant entre l'industrie automobile et les fabricants de caleche car sinon ceux-ci risquent de disparaitre !