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Ces scientifiques ont lu l'article et en font des critiques sur le fond.
Vous, vous rejetez leurs critiques sous le prétexte qu'ils sont membres d'un lobby (nonobstant que les statistiques sont un élément fondamental des études épidémiologiques et que sous-entendre que cela n'a aucune importance est profondément et fondamentalement inepte).
Vous avez les moyens de prouver vos affirmations?
Le CRIIGEN anti-OGM.
Gilles-Éric Séralini président du conseil scientifique de la CRIIGEN.
En faisant usage des mêmes réflexes pavloviens que vous, on conclut que cette étude est bonne pour la poubelle... parce que!
Ce qui était le plus évident, indépendamment du contenu de l'article:
Ce décalage de 24 heures provient du fait que la communauté scientifique n'a pu avoir accès à l'étude à paraître dans la revue Food and Chemical Toxicology que mercredi à 15 heures. Soit bien après les médias, comme le Nouvel Observateur, qui ont révélé ce «scoop» moyennant «la signature d'une clause de confidentialité». C'est du moins, ce qu'expliquait le matin même au Figaro, l'assistante de Gilles-Eric Séralini, professeur de biologie moléculaire à l'université de Caen et principal auteur de l'étude. Résultat: des images chocs de rats déformés par des tumeurs monstrueuses, et des propos définitifs sur la dangerosité des OGM, «enfin avérée», ont circulé toute la journée sans qu'il soit possible pour d'autres scientifiques d'apporter la moindre contradiction.
Déontologiquement discutable, quoi qu'il en soit.