Un bon article sur A. Sou'ral: http://cmick23r.wordpress.com/2012/12/0 ... ve-ryssen/
Espérons que cela va permettre de déniaiser certaines groupies.
Toujours les mêmes rengaines de jaloux en mal d'audience, qui ne peuvent exister qu'en se positionnant contre Soral. Je ne vois pas trop l'intérêt de ces querelles intestines au sein de la dissidence.
Seuls les naïfs, les usuriers et les chrétiens pensent que la quantité ("audience") est le plus important: la plupart des groupies de ben Sou'ral sont des idiots et/ou des allogènes (cf. les commentaires qu'ils postent).
Ryssen ne "se positionne" pas grâce à ben Sou'ral ; il n'en a pas besoin. Il ne fait que débusquer les imposteurs.
Je ne parlais de Ryssen en l’occurrence, mais de tous ces petits blogers qui se parent de vertus dogmatiques pour attaquer Soral à partir de quelques phrases sorties de leur contexte. Et ce pour l'unique raison que ce dernier à quelques sympathies mesurées à l'égard des musulmans. D'ailleurs, je connais un moustachu, qui ne vous est pas antipathique, qui avait une légion musulmane à ses côtés.
Bref, les idiots sont ceux qui se complaisent dans ces petites guerres intestines, car ces dernières sont une bénédiction pour le système.
Quant à Ryssen, une publication récente, semble indiquer sa sympathie pour Soral :
Alain Soral : un esprit français
Voici une partie d’un article "pleine page" que nous avions publié dans l’hebdomadaire Rivarol du 28 novembre 2010. Nous le publions ici, parce que nous estimons qu’on n’écrit pas des livres avec des coupures de presse.
On sait qu’Henry de Lesquen, le patron de radio Courtoisie, avait intenté un procès contre Alain Soral, qui l’avait critiqué vertement au cours de l’été 2009 pour un article jugé grossièrement pro-israélien. A notre avis, Lesquen, qui encensait l’État d’Israël pour sa politique décomplexée à l’égard des Arabes, ne voulait que s’inspirer de cet exemple sans avoir à encourir les foudres “antiracistes” des ligues juives (Licra, Ligue des droits de l’homme, etc.). Les Israéliens, écrivait-il, « sont des colonisateurs sans complexe ». C’est là un fait objectif, et non pas une opinion. Lesquen parlait aussi de « la prohibition du métissage » en Israël. Là encore, c’est un fait objectif, et pas une opinion. Il y a aussi cette phrase, plus ambiguë : « L’intervention musclée des Israéliens dans la bande de Gaza nous invite à méditer l’exemple qu’ils donnent aux peuples occidentaux, dont ils sont issus en majorité. » Bref, pas de quoi fouetter un chat.
Mais le très pro-palestinien Soral avait répondu de manière outrancière et insultante, parlant « d’incontinence », de « déjections », de « gâtisme ». Henry de Lesquen aurait pu passer outre. Il est bien naturel qu’il y ait quelques tensions entre personnes appartenant à un même milieu, mais il faut éviter à tout prix d’avoir recours à la justice ripoublicaine pour régler nos différends. Car Alain Soral fait évidemment partie de notre milieu, malgré ses prises de positions un peu trop islamophiles à notre goût.
Dans un entretien vidéo (“Interview littéraire”) publié sur internet le 16 novembre 2010 (neuvième partie : “l’obscène en littérature”), Soral montre une fois encore qu’il est très éloigné du discours officiel rabâché à longueur d’année dans tous les médiats. Il explique ici que l’esprit français traditionnel se trouve évincé par l’esprit sémitique qui a envahi nos écrans et nos radios. C’est d’ailleurs exactement ce que disait l’écrivain Renaud Camus il y a quelques années. Mais écoutons Soral nous parler de cette sous-littérature dégoulinante de bons sentiments. Nous retranscrivons ici la majeure partie de son propos :
« J’ai ressenti un vif dégoût en lisant des pages plus ou moins auto-biographique d’Albert Cohen, le type qui a écrit Belle du seigneur et Mangeclous. Ca me répugne. Il y a ce côté complaisant, mis en scène… Il y a du Elie Wiesel chez Albert Cohen. Ça m’insupporte. Moi je suis un goy du Nord, où l’on se tourne pour pleurer. On ne pleure jamais face à la caméra. Claude Lelouch, Boujenah, ça sent l’huile, le racket moral actuel, et ça me gêne. Et j’ai d’ailleurs ressenti cette gêne sans jamais identifier qu’il y avait une origine ethnico-culturelle là-dedans… J’ai ressenti cette gêne, ce manque total de pudeur et de mise en scène de sa propre souffrance insupportable chez tous ces gens-là, ce côté “pleurer face à la caméra pour tirer des larmes du goy et lui faire les poches”. Mangeclous et Belle du Seigneur, c’est insupportable pour moi. En plus, ce sont des énormes pavés… c’est gras… On est submergé par cette merde… Moi je défends quelque chose comme les films de Carné, avec le personnage du prolo pudique… Jean Gabin dans Le Jour se lève… une culture européenne, goye, celte, du Nord… l’émotion retenue, la pudeur, qui est l’antithèse même de la culture “nouveaux riches proustienne” qui domine aujourd’hui le monde et qui est au cœur même de la vulgarité hollywoodienne qui fait pleurnicher le gogo… Mon monde à moi, qui est le monde de la pudeur du Nord, de la pudeur hélleno-chrétienne, de la retenue, de l’émotion subtile, a été dévasté par la vulgarité séfarade, il faut le dire, et c’est une souffrance terrible, parce que ces codes se sont imposés à nous et les nouvelles générations sont dans cette vulgarité. On subit cette violence en permanence. C’est une colonisation. »
Dans ce monde troublé où nous vivons, il est toujours agréable d’entendre ce type de propos qui nous donnent quelques points de repères pour garder la tête hors de l’eau. Hervé Ryssen
P. S.: Une entreprise de séduction sioniste travaille l’extrême-droite depuis quelques années. Donc, en ce qui concerne cet article : esprits chagrins, s’abstenir.
http://rvrsn.wordpress.com/2013/04/10/a ... -francais/
Et là, je ne comprends plus, dîtes moi. Ryssen est il selon vous un idiot à classer parmi les naïfs, les usuriers et les chrétiens ?