"Le phoque est une marque de qualité, et que le nombre de phoques présents dans une zone donnée constitue un indicateur remarquable de la richesse de l’écosystème". S’il arrive que l’un d’eux vienne donner quelques coups de nageoire jusque dans le port de pêche, sous l’œil attendri des touristes, les phoques se font généralement rares à Ostende. Sur l’ensemble des côtes belges, on en compterait une dizaine, tout au plus. C’est bien moins qu’au début du XXe siècle, époque où la densification du trafic maritime et la pollution n’avaient pas encore affecté l’habitat de ces phocidés. Ils se regroupaient alors fréquemment en petites colonies près de Knokke ou d’Ostende Dès 2013, les parcs éoliens Belwind et C-Power, récemment construits au large des côtes belges, serviront de champ d’expérimentation à ce programme décidé à l’échelle fédérale. La zone est stratégique, car non seulement pêche et navigation y sont interdites - et impossibles - mais la présence d’éoliennes semble même jouer un rôle positif sur la biodiversité locale. " A l’endroit où les mâts sont ancrés, analyse Jan Mees, le directeur de l’Institut flamand de la Mer (VLIZ), on constate un développement significatif du matériel organique. Cela signifie qu’il y a davantage de nourriture pour les poissons, les crevettes et, de fait, pour l’ensemble des acteurs de la chaîne alimentaire. " http://www.lalibre.be/societe/planete/a ... oques.html
Comme quoi les éoliennes sont parfaitement écolo