Du fait qu'il s'agisse d'une tradition orale, d'un texte intraduisible dans ses subtilités, ou par rigorisme aigu ?
La Torah est totalemeNT traduisible , mais les grilles de lectures en seront limitées, ce n’est pas un bouquin de quai de gare.
Toute traduction induit forcement de l'entropie -c'est très clair, or, et pour faire un parallèle, on peut tout a fait apprendre tout un tas de trucs sympas sur les textes bibliques ou coraniques sans être un exégète spécialiste du grec ou de l'arabe ancien.
On a l'impression d'une rétention d'informations autour de certains textes; or, rien de ce que vous dites ne la justifie -à moins que vous sous-entendiez que l'hébreux est une langue plus subtile que les autres.