En Allemagne, le débat est complètement différent: la dynamique en faveur des énergies renouvelables afin de libèrer le pays des énergies sales et dangereuses est impressionnante, chacun sait que les objectifs du gouvernement allemand (35% d'EnR dans le mix électrique dès 2020) vont être largement dépassés (cela sera vraissemblement 40-45%, voir 50%), et le débat porte sur la gestion (coûts, réseaux électriques, impact sur le business des industriels de l'électricité-charbon etc.) d'un tel dépassement des objectifs. Le ministre de l'environnement lui-même tente de rassurer les industriels du charbon, qui sont inquiets de la vitesse fulgurante de l'arrivée des renouvelables, en leur disant qu'il restera de la place pour eux, qu'ils ne vont pas disparaître tout de suite. : : :
Energie - L'Allemagne et la France, deux planètes très diff
En France le discours est simple ... oui mais.
Les intérêts de certains sont trop important pour oser affirmer aux Français que la filiale du nucléaire monopolise le marché énergétique dans le but de faire un maximum de fric, les intérêts des Français passant bien au delà des petites volontés personnelles des gens qui trusts les hautes sphères de l'énergie en France.
Les intérêts d'une minorité de pic-assiette prévaudra sur le bien être de la planète et de ses habitants juste bon a payer des factures et a devoir taire leurs idées.
[supprimé]
Projection de l'Öko-Institut: le renouvelable pourrait atteindre 35% en 2020...
En se basant sur la croissance d'un enfant de 0 à 2 ans, certains concluraient qu'un être humain de 18 ans mesure 107 mètres.
Le charbon allemand n'a strictement rien à craindre (ils construisent les plus grosses centrales du monde occidental, et une centrale à charbon a une durée de vie de ~40 ans...).
Le charbon allemand n'a strictement rien à craindre (ils construisent les plus grosses centrales du monde occidental, et une centrale à charbon a une durée de vie de ~40 ans...).
+1.
Il y a 27 (!) méga centrales à charbon de plus de 1GW chacune en cours de construction actuellement en Allemagne, pour brûler de la lignite, le charbon parmi le plus polluant qui existe.
Mais ça, évidemment, les escrologistes ne risquent pas de le crier sur les toits pour pouvoir continuer à faire leur propagande des énergies renouvelables.
Et bien évidemment, leurs gros bobards, nos couillons habituels, on les retrouve en première ligne à les relayer (suivez mon regard...).
Heureusement pour les escrologistes qu'il y a un couillon qui naît chaque minute pour gober leurs foutaises. Chez les écolâtres, la crédulité, c'est bien la seule chose de durable.
Le charbon allemand n'a strictement rien à craindre (ils construisent les plus grosses centrales du monde occidental, et une centrale à charbon a une durée de vie de ~40 ans...).
+1.
Il y a 27 (!) méga centrales à charbon de plus de 1GW chacune en cours de construction actuellement en Allemagne, pour brûler de la lignite, le charbon parmi le plus polluant qui existe.
Mais ça, évidemment, les escrologistes ne risquent pas de le crier sur les toits pour pouvoir continuer à faire leur propagande des énergies renouvelables.
Et bien évidemment, leurs gros bobards, nos couillons habituels, on les retrouve en première ligne à les relayer (suivez mon regard)
Heureusement pour les escrologistes qu'il y a un couillon qui naît chaque minute pour gober leurs foutaises.
Gueuler contre les centrales a charbon tout en laissant rouler des milliards de véhicules .... il y a comme un malaise.
Chaque lobbying en charge d'une énergie veut pour la ou les entreprises qu'ils défendent laisser perdurer la production pour des raisons financières, peut importe la pollution, ou la nature des déchets sur les générations futures.
[supprimé]
Il y a 27 (!) méga centrales à charbon de plus de 1GW chacune en cours de construction actuellement en Allemagne, pour brûler de la lignite, le charbon parmi le plus polluant qui existe.
Mais non, l'Allemagne va tourner à l'éolien.
Le charbon allemand n'a strictement rien à craindre (ils construisent les plus grosses centrales du monde occidental, et une centrale à charbon a une durée de vie de ~40 ans...).
+1.
Il y a 27 (!) méga centrales à charbon de plus de 1GW chacune en cours de construction actuellement en Allemagne, pour brûler de la lignite, le charbon parmi le plus polluant qui existe.
Mais ça, évidemment, les escrologistes ne risquent pas de le crier sur les toits pour pouvoir continuer à faire leur propagande des énergies renouvelables.
Et bien évidemment, leurs gros bobards, nos couillons habituels, on les retrouve en première ligne à les relayer (suivez mon regard...).
Heureusement pour les escrologistes qu'il y a un couillon qui naît chaque minute pour gober leurs foutaises. Chez les écolâtres, la crédulité, c'est bien la seule chose de durable.
Cependant depuis la sortie du nucléaire en Allemagne il n'y a pas plus d'émission de CO2 car ils ont comblés avec du renouvelable et une baisse de leur consommation.
[supprimé]
Cependant depuis la sortie du nucléaire en Allemagne...
L'Allemagne est "sortie du nucléaire"... avec 17 réacteurs pour une puissance totale de 20 GW en activité en février 2011.
Aujourd'hui, c'est 9 réacteurs pour 12 GW.
Ooooooh, quelle surprise: l'Allemagne construit des centrales à charbon pour une puissance totale de... ~20 GW (en fait plus, parce qu'il faut bien pallier l'intermittence des formidables sources renouvelables).
Nonobstant la durée de vie d'une centrale à charbon. Si ils les construisent, ce n'est pas pour les fermer en 2022, c'est une certitude.
La transition énergétique, c'est maintenant.
[supprimé]
Tiens, de l'eau au moulin: http://www.zegreenweb.com/sinformer/lal ... aire,58922
Il n'y a que sur la planète de Dédé que le charbon est menacé en Allemagne.
« Certaines voix se sont élevées au Parlement pour réclamer le maintien partiel du secteur nucléaire », relate Presseurop.eu, tandis que le responsable du groupe des Verts au Bundestag Jürgen Trittinn, dont les propos ont été repris par le site, faisait un incroyable aveu : « Nous sommes prêts à accepter un retour temporaire au charbon comme source d’énergie afin d’épargner à l’Allemagne les effets destructeurs de l’atome. Après tout, ce qui nous importe à tous, c’est la protection de l’environnement. »
Le charbon, c'est actuellement 10 000 morts/an en Allemagne. Le nucléaire, c'est zéro (à quelques pouillèmes près). Pour donner une idée de la "destruction".
Ils pourraient aussi remettre en cause les objectifs initiaux de sortie du nucléaire en raison de la crise économique et de l’envolée du prix de l’énergie, qui pourrait croître de 30 % pour les particuliers à l’horizon 2020 d’après le groupe Vattenfall.
Amusant.
Cependant depuis la sortie du nucléaire en Allemagne il n'y a pas plus d'émission de CO2 car ils ont comblés avec du renouvelable et une baisse de leur consommation.
Warf, non, non, "pas plus d'émission", à peine 14 millions de tonnes de CO2 de plus et une hausse de 13,5% de charbon brûlé par an :
Mentir et encore mentir, il restera toujours quelque chose. Telle est la devise de l'escrologiste.
Le pire, c'est qu'il finit par croire à ses propres bobards.
Tu n'as rien compris comme dab.Gueuler contre les centrales a charbon tout en laissant rouler des milliards de véhicules .... il y a comme un malaise.
La question n'est pas de gueuler ou non contre le charbon (qui, rappel pour les alter-comprenants, a quand même été et continue d'être la base de notre prospérité actuelle).
La question, c'est l'hypocrisie crasse des hystériques écolo-réchauffistes et leurs mensonge permanent sur les renouvelables.
Tu n'as rien compris comme dab.Gueuler contre les centrales a charbon tout en laissant rouler des milliards de véhicules .... il y a comme un malaise.
La question n'est pas de gueuler ou non contre le charbon (qui, rappel pour les alter-comprenants, a quand même été et continue d'être la base de notre prospérité actuelle).
La question, c'est l'hypocrisie crasse des hystériques écolo-réchauffistes et leurs mensonge permanent sur les renouvelables.
Le poids des mots pour bien influencer les lecteurs.
Le réchauffement est bien une réalité, les glaciers fondent sur la presque totalité de la planète, l'écolo-réchauffiste à bien raison de faire une constatation basique largement niée par les lobbyistes de la pollution industrielle qui ont les moyens financiers, les moyens en personnels, pour faire croire a la stupidité chronique des écologistes et de leurs idées sur les énergies renouvelables.
Les blocages viennent du coté de ceux qui ont des intérêts financiers à laisser ce poursuivre les industries qui leurs rapportent des millions, des milliards par ans, largement de quoi payer des déstabilisateurs, des menteurs, qui dans les médias font l'apologie du nucléaire, du pétrole, du gaz ... du charbon, de l'éolien, du solaire, ils font tous pareil, que ce soit dans les énergies dites classiques ou dans le renouvelable, les lobbyistes essayent par tous les moyens de promotionner et de nuire ... et le résultat pour les peuples dans toutes ses entreprises privés qui ne voient que l'argent au détriment du long terme et de la sécurité.
Cependant depuis la sortie du nucléaire en Allemagne il n'y a pas plus d'émission de CO2 car ils ont comblés avec du renouvelable et une baisse de leur consommation.
Warf, non, non, "pas plus d'émission", à peine 14 millions de tonnes de CO2 de plus et une hausse de 13,5% de charbon brûlé par an :
Mentir et encore mentir, il restera toujours quelque chose. Telle est la devise de l'escrologiste.
Le pire, c'est qu'il finit par croire à ses propres bobards.
Pour l’instant, l’Allemagne sort du nucléaire sans émettre plus de CO2
C’est l’une des questions les plus déterminantes du débat énergétique européen : en sortant du nucléaire, l’Allemagne va-t-elle brûler plus de charbon et de gaz, et détériorer son bilan carbone ? Bien évidemment, assurent les défenseurs de l’atome, pour qui l’argument climatique est devenu premier (voir par exemple ce billet de l’association Sauvons le climat).
En réalité, cette affirmation est contredite par les données énergétiques allemandes : en 2011, l’Allemagne n’a pas compensé la fermeture d’une partie de ses centrales nucléaires en brûlant plus de gaz et de charbon, mais en réduisant ses exportations d’électricité et en augmentant sa production d’énergie de source renouvelable. Telle est l'analyse du chercheur Andreas Rudinger dans une passionnante note rédigée pour l’Institut du développement durable et des relations internationales (Iddri). Cela ne garantit pas qu’elle parvienne à respecter ses objectifs de réduction des gaz à effet de serre (– 80 % en 2050). Mais c’est un sérieux indicateur qu’elle s’est mise en situation de le faire.
« Les décisions post-Fukushima ne constituent ni un renversement brutal de la politique nucléaire existante, ni un obstacle majeur à la réalisation des objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre », explique ce spécialiste en politiques énergétiques et climatiques. A la suite de l’accident japonais de Fukushima Daiichi, Berlin a décidé l’arrêt anticipé de huit réacteurs (sur un total de dix-sept). Long d’une vingtaine de pages, cet article détaille, chiffres à l’appui, les paradoxes du tournant énergétique allemand. Sa lecture va à l’encontre de bien des idées reçues si souvent claironnées en France.
D’abord, la production d’électricité d’origine fossile n’a pas augmenté en 2011 par rapport à 2010, calcule Andreas Rudinger. Une stabilité permise par la diminution de la consommation intérieure brute (2 TWh), alors que la production de renouvelables a gonflé de 19 %. A l’avenir, les scénarios officiels font état, de plus, de l’ambition de ne pas compenser la perte des capacités nucléaires par un recours accru aux centrales à combustion fossile. Pourtant, l’Allemagne est bien en train de construire des centrales fossiles (10 Gigawatt). Mais, les installations en construction « visent en premier lieu à remplacer des centrales vétustes et polluantes par des centrales plus efficaces (…) et à réduire la part des centrales thermiques à charbon au profit de centrales à gaz et à co-génération», révèle le chercheur. C’est ce paradoxe qui explique que, contrairement à ce qu’affirment les pro-nucléaires, l’Allemagne peut à la fois construire de nouvelles centrales à gaz et améliorer son bilan carbone.
La fin du plus important conflit technico-politique
Ensuite, l’Allemagne a « considérablement réduit sa marge d’exportation » sans pour autant devenir exportatrice nette d’électricité, sur l’ensemble des échanges avec les pays transfrontaliers. Sur ce sujet, il y a bien une exception française, puisque l’année dernière, la France est, pour la première fois depuis de longues années, devenue exportatrice d’électricité vers son voisin allemand.
Mais cette exception n’est pas représentative de la situation de la balance commerciale de notre voisin : l’Allemagne est exportatrice nette sur toute la période observée, malgré la fermeture de réacteurs nucléaires, avec une marge d’exportation de 6,3 Terrawattheure (TWh). Les importations ont progressé de 18 % entre 2010 et 2011, mais les exportations n’ont diminué que de 6,5 %. Surprise : l’Allemagne a été importatrice nette pendant les mois les plus chauds, pourtant moins consommateurs, et fortement exportatrice pendant la période la plus froide. Pourquoi ? « Elle souhaite maintenir des capacités à l’export pour profiter de la variation des prix du marché dans une logique d’optimisation économique », analyse le chercheur.
Ce n’est pas qu’une question de kilowatt et de tuyau, mais aussi de consensus politique, pointe par ailleurs l’article de l’Iddri. La réforme de la politique nucléaire, le 30 juin 2011, a reçu 83 % d’approbation, avec le soutien des quatre grands partis (CDU, SPD, FDP et Verts). Cette union nationale signe la fin du « plus important conflit technico-politique de ces quarante dernières années ». C’est un « déclencheur politique ». Et elle rend ainsi possible l’adhésion collective à un ambitieux projet de transition énergétique à l’horizon 2050.
Finalement, conclut le chercheur, la décision de sortie du nucléaire n’apparaît que comme « une étape intermédiaire » de la transformation du modèle énergétique allemand. Une difficulté supplémentaire, dans la perspective de la sortie du carbone pour lutter contre le changement climatique. Mais un problème surmontable.
Un an après l’accident de Fukushima, l’Allemagne emprunte donc la voie d’une sortie du nucléaire et d’une lutte maintenue contre le changement climatique. Preuve, pour l’instant, que ces deux horizons ne sont pas incompatibles.
Le charbon allemand n'a strictement rien à craindre (ils construisent les plus grosses centrales du monde occidental, et une centrale à charbon a une durée de vie de ~40 ans...).
+1.
Il y a 27 (!) méga centrales à charbon de plus de 1GW chacune en cours de construction actuellement en Allemagne, pour brûler de la lignite, le charbon parmi le plus polluant qui existe.
Mais ça, évidemment, les escrologistes ne risquent pas de le crier sur les toits pour pouvoir continuer à faire leur propagande des énergies renouvelables.
Et bien évidemment, leurs gros bobards, nos couillons habituels, on les retrouve en première ligne à les relayer (suivez mon regard...).
Heureusement pour les escrologistes qu'il y a un couillon qui naît chaque minute pour gober leurs foutaises. Chez les écolâtres, la crédulité, c'est bien la seule chose de durable.
Tu n'y vas pas de main morte mais à ça le mérite d'être clair !!