Un grand prophète du monde arabe, le général de Gaulle, déclarait :
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GdG. — Les Arabes se détestent entre eux et préfèrent les Français.
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L’essentiel, c’est que ce sont les Algériens qui ont à faire face à la rébellion des Kabyles, au maintien de l’ordre, à la cohésion nationale. S’ils s’entretuent, ce n’est plus notre affaire. Nous en sommes , vous m’entendez ? Les Arabes, les Kabyles, c’est une population fondamentalement anarchique, que personne ne contrôle et qui ne se contrôle pas elle-même. Au lieu de se rassembler pour nous faire la guerre, ils vont se faire la guerre entre eux.
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GdG : « Ce sont des histoires d’Arabes ! Le Maroc voudrait Tindouf, pour faire tomber la Mauritanie. Notre intérêt est au contraire dans le statu quo des frontières, de manière que la Mauritanie tienne le plus longtemps possible. Il faut qu’ils se chamaillent, les Égyptiens avec les Syriens, les Syriens avec les Kurdes, etc. Il y a bien deux mille ans que c’est comme ça. Quand nous étions là en force, nous avons pu imposer le silence ; puis ils se sont tournés contre nous. Maintenant que nous ne pouvons plus être le bouc émissaire, ils se tournent les uns contre les autres.
AP. — Peut-on proclamer que nous restons neutres ?
GdG. — Il ne faut rien proclamer du tout. Et d’abord, c’est faux ! Nous aidons les Marocains, en leur fournissant des armes. Nous aidons les Algériens, en mettant à leur disposition notre aérodrome de Colomb-Béchar. Par le fait, nous les aidons à s’entretuer. Pourtant, il faut faire comme si nous étions neutres.
« Et puis, il n’y a jamais eu de vraies frontières entre le Sud marocain et le Sud algérien. Il fallait bien qu’ils essaient de se chaparder un peu de sable. »
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Les Arabes, c’est une agitation perpétuelle ; et si on cherche à s’appuyer sur eux, une perpétuelle déception. La politique à mener avec eux, c’est de ne pas s’attacher à eux, sinon on est sûr de perdre. Les Arabes, ce sont des nomades, même s’ils vivent dans des maisons ; ce sont les enfants des sables.
Alain Peyrefitte,
L'Occident est cuit et recuit ... tout y fout le camp !
Je trouve au contraire que, compte tenu de l'assoupissement qu'il endura sous les doubles coups de boutoir idéologiques marxistes et libéraux, son réveil, instillé par les provocations djihadistes sunnites, peut annoncer une inquiétante renaissance de ses atavismes culturels.
L'Occident oublie ses guerres et développe une du goût du sang. Du goût de son propre sang en prix des victoires. Le était celui des roturiers de France (par opposition au sang bleu des nobles). En souvenir des massacres passés, que le reste du monde tremble et modère ses charges !