marrant, j'en suis tombée amoureuse à l'âge du lycée.
certainement mon côté connasse qui se révèle encore ici.
au de là de la dimension humaine qui fait de proust un compagnon de solitude même à 16 ans (chacun son vécu),
il y a celle de la langue, riche langue, la plus merveilleuse, jamais égalée (qui fait qu'il est un parfait tuteur d'expression écrite à l'entrée au collège, faut savoir s'adapter au niveau de chacun)
et enfin celle d'un regard sur la littérature.
il est assez fréquent que les hommes maturent après 50 ans, on dira qu'il vaut mieux tard que jamais.
le verbe maturer est choisi, pas une faute.