Tivadar Herzl alias Théodor Herzl a declaréun peu tout et n'importe quoi, s'engageant une année dans le contraire de ce qu'il avait écrit l'année précédente.
Herzl est par contre, bien né dans une nation où l'antisémitisme était la règle (L'empire Austro Hongrois) et les écrits de Nietzsche et de Freud l'atteste bien. Pas besoin de Dreyfus pour lancer un vaste plan politique pro sion qui pourtant fut loin d'être évident. Dans les années qui précèdent 1896 (ses années parisiennes). Herzl fut même opposé à cette cause.(1)
Puis soudain, 3 années après le début de l'affaire Dreyfus, c'est l'illumination. Le fait que ce soit l'affaire Dreyfus qui en fut l'origine est tout de même suspect. Pourquoi en 1897 et en Autriche et pas 2 ou 3 ans auparavant en France ? Cela reste un mystère.
(1)"...//...un tel Juif doit savoir qu'il ne rendrait guère service aux siens en leur rendant leur patrie historique. Et si un jour les Juifs y retournaient, ils s'apercevraient dès le lendemain qu'ils n'ont pas grand'chose à mettre en commun. Ils sont enracinés depuis de longs siècles en des patries nouvelles, dénationalisés, différenciés, et le peu de ressemblance qui les distingue encore ne tient qu'à l'oppression que partout ils ont dû subir...//..."