« La politique, comme la nature, a horreur du vide », écrit Michel Touma dans le journal libanais L’Orient-Le Jour. Voilà qui illustre bien les trous à boucher dans la politique libanaise en générale, et en particulier vis-à-vis de la révolution syrienne. Ce vide, malgré des positions assez convenues et sans surprises de l’Etat libanais soutenant le régime syrien en place, est en voie d’être comblé par un étrange mouvement que la presse étrangère a décidé d’ignorer. Un mouvement qui fait office de prémices à des changements radicaux sur la région. http://www.rue89.com/2012/07/10/liban-u ... mas-233701