la comtesse de ségur sont du consistant.
Les livres de la comtesse de Ségur sont intéressants pour parler de ce sujet, même si c'est une époque passée et qu'à cette époque là la fessée était monnaie courante et maltraiter un enfant n'était pas puni par la société.
Nous voyons dans son oeuvre les bons parents et les mauvais parents.
Les bons parents donnaient des fessées quand celles-ci étaient pour une juste punition et donc les enfants étaient rarement punis par la fessée car connaissant les limites.
Les mauvais parents étaient deux cas opposés, ceux qui laissaient faire tout à leurs enfants qui alors étaient particulièrement mal élevés, sans limite, pas spécialement heureux et par la suite avaient une vie de misère affective, finissant dépravés, et ceux qui maltraitaient leurs enfants pour un oui ou un non rendant les enfants malheureux et réelles victimes.
Pour la comtesse de Ségur, la fessée n'était pas la solution à l'énervement des parents qui se trouvent dans l'incapacité face à leur enfant, mais une juste punition après explication du pourquoi.
Aujourd'hui, la question est de se demander si la fessée peut être une juste punition ou si cette juste punition ne peut pas être autre chose qu'une fessée.