Le web est grand, trop grand pour certain, cantonné à suivre le troupeau abasourdi pour ne pas sombrer dans abyssale analyse du monde moderne et de ses dérives consuméristes, entre autre.
Il est difficile de s'éveiller a une réalité fermée, cloisonnée, ou le mot liberté est gravé sur les frontons de certains édifices publiques, là ou en réalité, la liberté est une illusion dirigée par les tenanciers du bordel mondialisé, ne parlons même pas de l'égalité, elle n'existe pas objectivement.
Nous sommes les pions, les rouages rouillés d'une pendule en panne tombée au fond des oubliettes d'un château a l'abandon.
Heureusement il nous reste la force d'être, d'évoluer, de grandir sans être affecté par la multitude des nuisances d'un monde malade ou des fous dirigent d'autres fous, dans une embrouille permanente nappé d'une brume polluée au diesel.
Le sage est calme et serein, l'homme de peu, le matérialiste, est accablé de soucis plus ou moins importants, qu'il est bon d'être calme et de pouvoir vivre au milieu des gens sans être affecté mentalement par leurs tourments.