"Je l’ai toujours dit, je l’ai toujours su. Journaliste, c’est mon métier. C’est vital pour moi . C’est un partie de mon existence à laquelle je n’ai pas envie de renoncer." Valérie Trierweiler, la compagne du président François Hollande, a réitéré sa volonté de conserver son poste de journaliste culture à "Paris-Match", lors d’un entretien sur France Inter jeudi 7 juin. Un choix qui fait polémique dans la profession. Est-il compatible de disposer d’un cabinet à l’Élysée et de compter sur des conseillers personnels tout en continuant à écrire pour l’hebdomadaire "Paris-Match" ? Certains journalistes en doutent, à l’image du correspondant de "Libération" à Bruxelles Jean Quatremer, qui s’insurge contre ce qu’il appelle une "confusion déontologique". "Il est évident qu’elle ne sera absolument pas une journaliste comme une autre, quel que soit son domaine d’intervention", argumente-t-il sur son blog. :
Je trouve que c'est à elle de choisir. On veut libérer la femme, et on oblige une femme à laisser tomber son boulot , sa vie sous prétexte que son mec est président? C'est quoi ce pays machiste?
Qu'elle laisse le domaine politique,ok(et encore), mais en quoi à la culture serait elle déplacée?
On la remet au fourneaux pour prendre soin de son petit mari(avec qui elle n'est pas mariée d'ailleurs)?
C'est a elle de voir ce qui serait le mieux pour elle, c'est pas aux autres de choisir pour elle, ni à son patron de la dégager pour quelque raison que ce soit, indépendante de ses compétences professionnelles.
Là, pour le coup, c'est un combat féministe à mener pour elle.
pilgrim
La vrai déontologie, voudrait que les médias ne soit n'y de gauche et n'y de droite.
Hors la majorité de ces zozos de journalistes sont de gauche.
Où est donc la liberté de la presse ?
Pas en France en tout cas.