dur de ne pas être sur cour, j'ai vécu avenue du général leclerc, impossible de vivre les fenetres ouvertes, moi qui ne sais pas les fermer, bonjour la galère, je vivais dans la cuisine qui donnait sur une cour... et tout puait, le calvaire.
souvenir, souvenir, quand je vivais rue mabillon, chambre d'étudiant, même sur la cour, le bruit était non stop. c'était en 86, les manifs, même en pleine nuit j'avais toujours le bruit des manifestations dans la tête, l'horreur.