Depuis bientôt un siècle, la gauche, la "vraie" (pas celle de Maigrichon ou de Marie-Ségolène), s'est enferrée dans l'erreur, se coupant du peuple et pactisant avec la fausse droite mondialiste et patronale. Au passage, elle aura oublié ses valeurs et succombé à la facilité électorale, en flattant les comportements les plus abjects, les instincts les plus vils. Il est temps de rappeler ce que doit être une vraie gauche populaire, oeuvrant dans l'intérêt de ses électeurs.
Les vraies valeurs :
- le travail : la gauche représente les travailleurs face aux rentiers et aux capitalistes, ceux qui se lèvent tôt pour gagner leur subsistance et celle de leur famille. Le travail est la valeur la plus honorable pour un homme de gauche. Etre privé de travail est un drame, refuser l'emploi et se complaire dans l'assistanat est une lâcheté impardonnable.
- la famille et la société : l'homme de gauche est attaché à ses proches, les déviants et autres marginaux lui répugnent ; même libertaire, il accepte la contrainte sociale qui l'oblige à rester dans le rang
- la patrie : l'homme de gauche est patriote, il l'a montré dans le passé. Il doit refuser l'immigration massive, initiée par le patronat pour casser les revendications salariales dans l'industrie ou la construction. A noter qu'une gauche trop patriotique se mue en national-socialisme, ce qui constitue une autre dérive.
- l'honnêteté : on ne peut être malhonnête et de gauche, la solidarité de classe exclue toute malversation, tout mensonge, toute manoeuvre permettant d'obtenir un profit personnel sur le dos des autres
- le courage : la gauche est prête à affronter l'adversité, elle est conquérante, elle refuse les compromis et les faux-semblants. Elle récompense le mérite et l'effort individuel, mais châtie l'échec et l'inutilité sociale
- l'égalité des chances : la gauche sait que la vie est inégalitaire, mais veut offrir à tous la possibilité de s'élever dans l'échelle sociale. L'ascenseur social doit permettre aux plus méritants d'obtenir les meilleures positions, quelle que soit leur origine sociale.
- la laïcité : la gauche est fondamentalement laïque, anti-chrétienne, mais aussi hostile à toute religion surtout si elle est aliénante. Le rejet de l'islam et des musulmans est aujourd'hui une valeur fondamentale de la gauche qui cherche l'émancipation de l'individu, et refuse les ténèbres d'une doctrine moyenâgeuse.
Les fausses valeurs :
- l'oisiveté et l'assistanat : les travailleurs refusent de bosser pour les feignants. Les comportements anti-sociaux sont d'ailleurs sévèrement châtiés dans les pays socialistes, qui sont les seuls à avoir mis en place des camps de travail forcé.
- la perversité et les vices : les marginaux, drogués, hippies, punks et autres pervers sexuels sont considérés par l'homme de gauche comme des déviants, et non comme des victimes à protéger. Leur comportement met en danger les institutions et constitue une véritable offense pour ceux qui travaillent.
- le mondialisme et l'immigration : les travailleurs de gauche ont tout à perdre avec l'immigration africaine, d'abord leur emploi, puis leurs conditions de travail, de logement, l'image qu'ils peuvent avoir d'eux-mêmes quand on les parque de force avec des immigrés issus de pays arriérés. Les problèmes de sécurité frappent en premier les pauvres et les travailleurs, quand les bourgeois et les nantis en font un sujet de discussions de salon
- la jalousie et le nivellement par le bas : le meilleur moyen de bloquer toute ascension sociale, tout espoir d'une vie meilleure. Le partage de la pauvreté n'est pas le but du travailleur responsable, soucieux d'assurer le confort et la sécurité de sa famille. Chacun cherche à se créer une vie meilleure, pas à partager la médiocrité de l'autre.
- la tolérance des religions aliénantes et des comportements criminels : les travailleurs refusent d'admettre que des imams ou des dealers remplacent les patrons du XIXème siècle. Trahis par leurs élites politiques, ils ne peuvent donc qu'abandonner la fausse "gauche" UMPS qui les a si souvent trompés.