Elle n'est ni égale ni consécutive, il s'agit juste de justifier la colonisation massive des juifs ashkénazes et sépharades. La population juive a toujours été présente mais en quantité extrêmement réduite par rapport aux arabo-chrétiens et musulmans. Et je me fou royalement de savoir s'ils étaient "palestiniens" ou non; ils étaient arabes, habitant une province appelée "Palestine" (à noter que la Palestine mandataire comprenait aussi la Jordanie actuelle. Bizarre, mais cette vérité historique semble vous déranger! Normal, puisque dans ces conditions, les Arabes Palestiniens auraient donc un Etat. Par ailleurs, j'insiste sur le fait que le terme "palestinien" est incorrect, puisqu'il nie la présence juive indiscutable et non interrompu en terre d'Israël.), et là majoritairement depuis des siècles.
Rappelons aussi qu'ethniquement parlant, les palestiniens et les jordaniens sont en grande partie les descendants des populations hébraïques, ils ont été d'abord christianisés, puis arabisés et islamisés.
Sur la base de témoignages de gens qui sont venus visiter le pays, la terre d’Israël (la Palestine) était presque vide d’habitants jusqu’au début du 20ème siècle. Ce qui est bien loin de la thèse selon laquelle les Palestiniens s’y trouveraient depuis des centaines, si ce n’est des milliers d’années.
Alphonse de Lamartine vint en visite dans la région (terre d’Israël) (Palestine) en 1835. Dans son livre «Souvenirs d’Orient», il écrivit : «A l’extérieur des portes de Jérusalem, nous n’avons pas rencontré âme qui vive et nous n’avons entendu aucune voix humaine.»
Cette description fut confirmée par l’écrivain américain Mark Twain qui vint en visite en terre d’Israël (Palestine) en 1867. Dans son livre «Les promeneurs incrédules», il écrivit : «On ne peut trouver les mots pour décrire la désolation qui règne ici. Même l’imagination la plus fructueuse ne pourrait la peupler de vie et d’animation. Nous sommes parvenus à Tabor et nous n’avons rencontré aucune âme qui vive sur notre chemin».
Chateaubriand, dans son “Itinéraire de Paris à Jérusalem” décrit la terre d’Israël (Palestine) au milieu du XIXème siècle comme un pays désolé, aride et presque inhabité.
Le Consul britannique de Palestine rapportait en 1857 que «Cette terre est en majeure partie vide d’habitants. Par conséquent, le recours le plus urgent est de la peupler d’habitants.»
Lorsque les Juifs ont commencé à y revenir surtout à partir de 1880, la relative prospérité qui s’y est développée a attiré des populations arabes des pays avoisinants. Les “Palestiniens” sont pour l’immense majorité issus de cette immigration commencée à la fin du XIXème siècle et continuée au cours des premières décennies du XXème siècle.
Le chef de l’autorité palestinienne Yasser Arafat, qui s’est proclamé “Chef du peuple palestinien” lui même est né au Caire le 24 août 1929 et y a grandi.
En fait, le recensement officiel réalisé par les pouvoirs ottomans en 1882, affirme qu’il n’y avait alors en terre d’Israël (Palestine) que 141 000 musulmans Arabes et non-Arabes réunis. En 1922, ce chiffre sauta à 650 000 Arabes : une hausse de 450% en 40 ans seulement. En 1938, il atteint plus d’un million (hausse de 800% en 56 ans seulement). La population augmenta particulièrement dans les régions qui étaient peuplées par les Juifs.
Afin de maintenir l’effet de ce coefficient essentiel qu’est leur soi-disant origine sur cette terre, les responsables de la propagande arabe durent réécrire l’histoire.
Le nom Palestine, déformation latine de Philistie, a été donné au pays par les Romains après la dernière révolte des Juifs en 135, pour littéralement effacer la Judée de la carte ; par souci de vengeance, ils ont choisi le nom de l’un des ennemis héréditaires d’Israël dont la Bible parle abondamment.
Il n’y a aucun rapport ethnique entre les Philistins (originaires de la Crète) et les Palestiniens (qui sont des Arabes), mais ils jouent le même rôle.
Donc dans le cas d’espèce, les Palestiniens ne sont pas venus occuper la terre d’Israël pendant l’absence des Juifs, mais au contraire ils y sont venus, parce qu’il y avait du travail et des débouchés pour le petit commerce et l’artisanat grâce à l’arrivée continue des Juifs. Et d’ailleurs, ils ne s’appelaient pas Palestiniens : c’étaient tout simplement des Arabes. Jusqu’au milieu des années 60, se réclamant de la Ummah arabe, ils refusaient même le nom de “Palestiniens” dont on les désignait dans les instances internationales.
Aucun état n'aurait pu être accepté dans ces conditions, je le maintiens. Autant je suis d'accord avec Pascale en ce qui concerne les réfugiés (impossible à intégrer), autant un état contrôlé indirectement par son voisin est inacceptable.
Et j'aimerais bien une citation d'Abbas et d'Arafat post/accord d'Oslo qui parle d'annihilation d'Israël, toujours cette technique foireuse qui nous ressort le couplet d'Arafat terroriste, alors que ces même personnes oublient de dire que Begin et Shamir étaient de sacrés assassins en puissance. Néanmoins le passé est le passé, Irgoun a cessé d'exister et le Fatah a cessé d'être terroriste.
Suffit de regarder le documentaire "Relentless: The Struggle for Peace in the Middle East" et vous verrez bien que les dirigeants "palestiniens" (Arafat) n'ont pas respecté les accords d'Oslo et qu'ils n'en avaient pas l'intension.
http://www.t411.me/torrents/relentless-the-struggle-for-peace-in-the-middle-east-vo-dvdrip-xvid-mp3
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"Relentless: The Struggle for Peace in the Middle East" was produced by the pro-Israel media watchdog group HonestReporting
Honest... :