La charité est la voie maîtresse de la doctrine sociale de l’Église. Toute responsabilité et tout engagement définis par cette doctrine sont imprégnés de l’amour qui, selon l’enseignement du Christ, est la synthèse de toute la Loi (cf. Mt 22, 36-40). L’amour donne une substance authentique à la relation personnelle avec Dieu et avec le prochain. Il est le principe non seulement des micro-relations: rapports amicaux, familiaux, en petits groupes, mais également des macro-relations: rapports sociaux, économiques, politiques. Pour l’Église – instruite par l’Évangile –, l’amour est tout parce que, comme l’enseigne saint Jean (cf. 1 Jn 4, 8.16) et comme je l’ai rappelé dans ma première Lettre encyclique, « Dieu est amour » (Deus caritas est): tout provient de l’amour de Dieu, par lui tout prend forme et tout tend vers lui. L’amour est le don le plus grand que Dieu ait fait aux hommes, il est sa promesse et notre espérance. http://www.vatican.va/holy_father/bened ... te_fr.html

Le rapport entre l'Église et l'État … se résume ainsi : La société civile et la société religieuse sont deux sociétés réellement distinctes et indépendantes dans leur sphère propre. Et cela est depuis le Christ qui nous dit de rendre à César ce qui lui appartient et à Dieu ce qui lui appartient. Ceci dit, l'union du spirituel et du temporel doit se faire dans la Charité, et uniquement dans cette Vertu et valeur universelle ... Charité unique Loi de Dieu.

institutions-idees-politiques-francaises/sermon-catholique-contre-vote-democratique-t108056.html SERMON DE M. L’ABBÉ LAFITTE POUR LE TROISIÈME DIMANCHE DE PÂQUES 2012 SUR LA QUESTION DU VOTE AUX ÉLECTIONS PRÉSIDENTIELLES DE 2012

Mettez-vous d'accord sur le sens de charité. (Katou, Cemab, Joanni, Childéric...)

Mettez-vous d'accord sur le sens de charité. (Katou, Cemab, Joanni, Childéric...) L'amour de la Vérité. Donc de Dieu

Et cela est depuis le Christ qui nous dit de rendre à César ce qui lui appartient et à Dieu ce qui lui appartient. Ceci dit, l'union du spirituel et du temporel doit se faire dans la Charité, et uniquement dans cette Vertu et valeur universelle ... Charité unique Loi de Dieu. La société civile doit obéir aux principes Catholiques

Mettez-vous d'accord sur le sens de charité. (Katou, Cemab, Joanni, Childéric...) L'amour de la Vérité. Donc de Dieu Le problème, c'est qu'on finit par se demander si vous avez le même... :

Mettez-vous d'accord sur le sens de charité. (Katou, Cemab, Joanni, Childéric...) L'amour de la Vérité. Donc de Dieu Le problème, c'est qu'on finit par se demander si vous avez le même... : Avoir le même est une chose, servir le même en est une autre.

Avoir le même est une chose, servir le même en est une autre. Et comme on ne peut servir deux maîtres en même temps... 8)

Avoir le même est une chose, servir le même en est une autre. Et comme on ne peut servir deux maîtres en même temps... 8) Certains ne servent pas Dieu

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la voie maîtresse de la doctrine sociale de l’Église

tonia

Mais ma chère, là n'est pas le propos et cette réponse est somme toute hors sujet. Que l'Eglise s'exprime demain en faveur du mariage gay ou autre ça ne m'étonnerait plus. Dans une société où la religion n'a plus aucune signification, l’Église s'est fait maté par la république, la laïcité, il a fallu qu'elle s'adapte à cette société.

La royauté sociale est envisagée dans une société d'ordre traditionnel ou l'autorité temporelle est évidemment subordonnée à l'autorité spirituelle, ce qui fut le cas de l'occident chrétien quoi que les modernes catholiques en disent. Le pouvoir temporel séparé de son principe ne s'exercera que d'une manière désordonnée et courra à sa perte, c'est bien cela dont il est question aujourd'hui.

joanni

La charité consiste à créer selon ses capacités des postes de travail à ses compatriotes.

Colbert menaçait les moines de la prison si ceux-ci continuaient à faire la "charité" aux grosses feignasses dont Colbert avait le plus grd besoin pour faire tourner ses manufactures.

Aujourd'hui, seulement le FN avec sa création de 4/5 millions d'emplois marchands, mérite le qualificatif charitable.

Et ceux qui ne font que dans les œuvres d'assistance, en disant de toute façon il ne peut plus y avoir de boulot pour tout le monde..., eh! bien, ces salopards, souvent catholiques nominaux, ils seraient emprisonnés ds un régime colbertiste.

Il n'existe aucune distinction dans les Évangiles de ce qu'est le prochain. Le prochain c'est l'autre et le Christ ne justifie pas son argumentation vis à vis d'un éloignement ou d'un rapprochement. C'est l'autre qu'on rencontre ou qu'on peut rencontrer.

joanni

Mais ma chère, là n'est pas le propos et cette réponse est somme toute hors sujet. Que l'Eglise s'exprime demain en faveur du mariage gay ou autre ça ne m'étonnerait plus. Dans une société où la religion n'a plus aucune signification, l’Église s'est fait maté par la république, la laïcité, il a fallu qu'elle s'adapte à cette société.

La royauté sociale est envisagée dans une société d'ordre traditionnel ou l'autorité temporelle est évidemment subordonnée à l'autorité spirituelle, ce qui fut le cas de l'occident chrétien quoi que les modernes catholiques en disent. Le pouvoir temporel séparé de son principe ne s'exercera que d'une manière désordonnée et courra à sa perte, c'est bien cela dont il est question aujourd'hui.

L'Eglise ne pourra jamais être en faveur d'un droit social qui contredit l'ordre naturel voulue par Dieu. L'Eglise n'a pas ce pouvoir de créer ou considérer comme normal un principe contredisant la loi de Dieu.

tonia

L'Eglise ne pourra jamais être en faveur d'un droit social qui contredit l'ordre naturel voulue par Dieu. L'Eglise n'a pas ce pouvoir de créer ou considérer comme normal un principe contredisant la loi de Dieu.

Justement j'espère bien qu'elle ne tombera pas aussi bas ;)

cemab

L'Eglise ne pourra jamais être en faveur d'un droit social qui contredit l'ordre naturel voulue par Dieu. L'Eglise n'a pas ce pouvoir de créer ou considérer comme normal un principe contredisant la loi de Dieu.

Justement j'espère bien qu'elle ne tombera pas aussi bas ;)

elle ne l'a jamais fait, mais s'il est nullement impossible qu'une fraction du clergé le fasse, cf en Allemagne ou en Hollande, ils ne sont pas l'Eglise.

joanni

Etant donné qu'un principe social n'est pas obligatoirement issu de la loi naturelle, le mariage gay qui pourrait être validée (sic) par une partie du clergé n'aurait aucune valeur. Fut-il un pape qui le déclarerait valide, celui la tomberait ipso facto dans l'hérésie caractérisé.

katou

L'Eglise ne pourra jamais être en faveur d'un droit social qui contredit l'ordre naturel voulue par Dieu. L'Eglise n'a pas ce pouvoir de créer ou considérer comme normal un principe contredisant la loi de Dieu.

Justement j'espère bien qu'elle ne tombera pas aussi bas ;)Alors pourquoi ce discours ?

Que l'Eglise s'exprime demain en faveur du mariage gay ou autre ça ne m'étonnerait plus. Dans une société où la religion n'a plus aucune signification, l’Église s'est fait maté par la république, la laïcité, il a fallu qu'elle s'adapte à cette société.

La royauté sociale est envisagée dans une société d'ordre traditionnel ou l'autorité temporelle est évidemment subordonnée à l'autorité spirituelle, ce qui fut le cas de l'occident chrétien quoi que les modernes catholiques en disent. Le pouvoir temporel séparé de son principe ne s'exercera que d'une manière désordonnée et courra à sa perte, c'est bien cela dont il est question aujourd'hui.

katou

Etant donné qu'un principe social n'est pas obligatoirement issu de la loi naturelle, le mariage gay qui pourrait être validée (sic) par une partie du clergé n'aurait aucune valeur. Fut-il un pape qui le déclarerait valide, celui la tomberait ipso facto dans l'hérésie caractérisé.

Aucun pape ne déclarera cela valide, c'est impossible.

joanni

Tonia à raison.

Rendre à césar ce qui appartient à césar ne dispense pas césar de rendre à Dieu ce qui appartient à Dieu.

katou

La royauté sociale est envisagée dans une société d'ordre traditionnel ou l'autorité temporelle est évidemment subordonnée à l'autorité spirituelle, ce qui fut le cas de l'occident chrétien quoi que les modernes catholiques en disent. Le pouvoir temporel séparé de son principe ne s'exercera que d'une manière désordonnée et courra à sa perte, c'est bien cela dont il est question aujourd'hui.

Tonia à raison.

Rendre à césar ce qui appartient à césar ne dispense pas césar de rendre à Dieu ce qui appartient à Dieu.

Où ai-je dit autre chose ? La Charité doit être dans tous nos actes.

La Royauté sociale du Christ, c'est Le reconnaitre comme notre Dieu, le seul Seigneur. Nous sommes dans le domaine du spirituel. Il est évident que cette spiritualité doit rejaillir dans notre vie, dans nos actes qui doivent être orientés par la Charité.

tonia

Où ai-je dit autre chose ?

Quand tu nies le fonctionnement d'une société chrétienne d'occident.

katou

Où ai-je dit autre chose ?

Quand tu nies le fonctionnement d'une société chrétienne d'occident.

Je ne nie rien du tout ... Mais toi tu as systématiquement confondu la "séparation" de l'Eglise et l'Etat avec la "distinction" entre les pouvoirs religieux et profane ... et tous tes discours sont partis sur cette confusion, que moi, je n'ai jamais eue.

zzz

Il n'existe aucune distinction dans les Évangiles de ce qu'est le prochain. Le prochain c'est l'autre et le Christ ne justifie pas son argumentation vis à vis d'un éloignement ou d'un rapprochement. C'est l'autre qu'on rencontre ou qu'on peut rencontrer.

Tu te trompes à 180 degrés.

Le prochain pour Jésus c'est ton frère. Jésus sait que les plue grdes querelles, parfois des crimes, sont entre membres d'une même famille, voilà le sens de son aime ton prochain.

Les sots croient que Jésus a dit: aime les Chinois... quelle erreur !

Je crois que Jésus, aussi, n'aimait pas les sots.

katou

Il n'existe aucune distinction dans les Évangiles de ce qu'est le prochain. Le prochain c'est l'autre et le Christ ne justifie pas son argumentation vis à vis d'un éloignement ou d'un rapprochement. C'est l'autre qu'on rencontre ou qu'on peut rencontrer.

Tu te trompes à 180 degrés.

Le prochain pour Jésus c'est ton frère. Jésus sait que les plue grdes querelles, parfois des crimes, sont entre membres d'une même famille, voilà le sens de son aime ton prochain.

Les sots croient que Jésus a dit: aime les Chinois... quelle erreur !

Je crois que Jésus, aussi, n'aimait pas les sots.

Le prochain est le proche, qu'il soit ton frère ou ton ennemi ou étranger.

tonia

Où ai-je dit autre chose ?

Quand tu nies le fonctionnement d'une société chrétienne d'occident.

Mais pas du tout !

Tu nous sors que des rois avait des maîtresses etc et alors qu'est ce qu'on s'en fiche de ça dans le cadre de la discussion. Qu'il ait commis des péchés là n'est pas la question, sa fonction de roi et toute la société était subordonnée à l'autorité spirituelle. C'est ce genre de réponse gnan gnan qui n'ont aucun rapport avec le sujet qui m'agace.

joanni

Il n'existe aucune distinction dans les Évangiles de ce qu'est le prochain. Le prochain c'est l'autre et le Christ ne justifie pas son argumentation vis à vis d'un éloignement ou d'un rapprochement. C'est l'autre qu'on rencontre ou qu'on peut rencontrer.

Tu te trompes à 180 degrés.

Le prochain pour Jésus c'est ton frère. Jésus sait que les plue grdes querelles, parfois des crimes, sont entre membres d'une même famille, voilà le sens de son aime ton prochain.

Les sots croient que Jésus a dit: aime les Chinois... quelle erreur !

Je crois que Jésus, aussi, n'aimait pas les sots.

Citez-moi un passage de l’Évangile qui dit cela ?

Je maintiens que le Christ n'entre pas dans ces distinctions.

De plus, je maintiens qu'aimer son prochain c'est aimer l'autre qu'on rencontre ou qu'on peut rencontrer et comme le dit St Jean 1.3,14 :

katou

Je ne nie rien du tout ... Mais toi tu as systématiquement confondu la "séparation" de l'Eglise et l'Etat avec la "distinction" entre les pouvoirs religieux et profane ... et tous tes discours sont partis sur cette confusion, que moi, je n'ai jamais eue.

Mais pas du tout !

J'ai pris l'ex de Louis XI qui faisait passer l'Etat avant l'Eglise, et alors ? Philippe le Bel a fait de même ... et combien de rois catholiques ont agi en mettant cette distinction en avant ...

Jésus-Christ, le fondateur de l’Église, a voulu sans aucun doute que le pouvoir religieux fût distinct du pouvoir civil. Chacun d’eux peut, dans sa sphère propre, agir librement et sans contrainte.

Ce qui m'agace prodigieusement, moi, c'est que tu te permets d'intervenir sur des sujets où tu fais des confusions, pour me contredire et m'insulter.

joanni

Il n'existe aucune distinction dans les Évangiles de ce qu'est le prochain. Le prochain c'est l'autre et le Christ ne justifie pas son argumentation vis à vis d'un éloignement ou d'un rapprochement. C'est l'autre qu'on rencontre ou qu'on peut rencontrer.

Tu te trompes à 180 degrés.

Le prochain pour Jésus c'est ton frère. Jésus sait que les plue grdes querelles, parfois des crimes, sont entre membres d'une même famille, voilà le sens de son aime ton prochain.

Les sots croient que Jésus a dit: aime les Chinois... quelle erreur !

Je crois que Jésus, aussi, n'aimait pas les sots.

Le prochain est le proche, qu'il soit ton frère ou ton ennemi ou étranger.

Et nier l'autre qui serait à 3000 km c'est n'avoir toujours rien compris à l'universalité du message du Christ. Le Christ est venu sauver l'humanité entière et par la mort sur sa Croix, et le baptême nous renaissons tous dans une nouvelle vie. De plus, par les liens mystiques qui unissent le Christ et le monde, chrétiens ou non, nous sommes tous frères.

katou

De plus, je maintiens qu'aimer son prochain c'est aimer l'autre qu'on rencontre ou qu'on peut rencontrer et comme le dit St Jean 1.3,14 :

Le prochain est celui qui croise notre chemin, voir l'épisode du bon samaritain.

katou

Et nier l'autre qui serait à 3000 km c'est n'avoir toujours rien compris à l'universalité du message du Christ. Le Christ est venu sauver l'humanité entière et par la mort sur sa Croix, et le baptême nous renaissons tous dans une nouvelle vie. De plus, par les liens mystiques qui unissent le Christ et le monde, chrétiens ou non, nous sommes tous frères.

Qui parle de les nier ? pas moi. J'ai mis assez de messages sur ce sujet en parlant de Dieu qui veut tous nous sauver, sans exception.

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