C'est débile comme question... Quel rapport entre 1)le fait que nous soyons mortels et 2)nous considérer comme des cadavres ambulants.
Ceux qui ont ce qu'il faut pour comprendre, comprenne:
Soit N moment biologique ou on possède des droits
Soit N-1 moment antérieur à N
soit N +1 moment postérieur à N
Si N-1 moment antérieur implique qu'on lui applique les mêmes droits que N, alors pourquoi N+1 moment postérieur de N n'impliquerait pas qu'on lui implique les droits de N.
L'argument n'est pas infondé.
Voilà.
Celui qui a commencé à causer de ce que va devenir à l'instant t+1 un embryon pour justifier le traitement de celui-ci à l'instant t, ce n'est pas moi: post2862790.html#p2862790
J'aurais aussi bien pu relever que si l'on s'interroge sur ce que va donner un embryon à l'instant t+1 (ici, un être humain), c'est bien admettre implicitement qu'il n'est pas vraiment un être humain à l'instant t, puisqu'il le devient, il "donne" un être humain. Si il donne un être humain, c'est qu'il ne l'est pas.
CQFD.
La controverse reste la même dans le cadre de la limite Vie/ Non-vie à quel moment considère-t-on que le moment N existe ( Rencontre spermatozoïde / ovule, nidification, battement du cœur, mise en place du SNC, naissance...) pour ceux qui fonde leur argumentaire sur ce point.
Là, la réponse est relativement claire: une cellule, sexuelle ou non, fait partie du règne du vivant (même si le vivant n'est pas parfaitement défini)